"Dans Mes Yeux"

pierre77 a écrit:D'ailleurs peu importe que la lettre d'Adeline ait été rédigée par un autre qu'elle. Johnny aussi se sert du talent d'un autre pour rédiger ses mémoires.

Que j'aime te lire Pierre, un jugement sur sans amertume, dans un sens ou dans l'autre.

Incroyable ce déchainement !!
Il est LIGHT ce bouquin...
Un peu d'émotion, un peu de tendresse. Quelques piques, mais rien de méchant... Je suis sidérée du déchainement médiatique et de certains "fans". Bruler aussi vite ce que vous adorez... Chacun a son avis... mais foutons lui donc la paix. Il nous a fait une super tournée, un super disque. Et on va se retrouver le 15 juin. Vous voulez quoi de plus ?

La critique de Télérama :
Et la montagne accoucha d'une souris... La montagne ? Johnny, monument national depuis cinquante ans. La souris ? Un petit livre léger comme l'air, Dans mes yeux, dans lequel l'idole aurait décidé « de tout dire et de se livrer sans fard, mais à une seule personne : Amanda Sthers ». Tout ? Vraiment ? Quelle déception pour ceux qui espéraient enfin entrer dans la tête de l'énigmatique icône, dont la pudeur et l'expression orale limitée ont cruellement nourri tant de caricatures et de quolibets. On pensait qu'enfin, détendu, en confiance avec une plume « amie », il livrerait de l'intérieur le récit vertigineux d'une carrière extraordinaire (quoi qu'on en pense artistiquement). Hélas... Dans mes yeux ne propose qu'un survol parcellaire et déséquilibré d'une vie entière, une confession truffée d'ellipses, d'impasses et de raccourcis frustrants, d'autant plus rageants qu'une bonne portion de l'ouvrage s'étend à n'en plus finir sur les colossales vertus (dont on ne doute pas) de la formidable Laeticia.

Bien sûr, on ne peut qu'être touché par les premières pages, consacrées à sa petite enfance : ce père qui l'abandonne à la naissance pour ne resurgir, intéressé, que lorsqu'il est devenu chanteur à succès. Mais cette anecdote, comme les rapports du jeune Jean-Philippe à sa cousine Desta ou à son père de substitution Lee Hallyday, son séjour londonien à l'adolescence et tant d'autres évoquées en surface, tout fan les connaît déjà — il suffisait de parcourir les innombrables biographies et sites existants. On peut sourire aussi aux rares piques distillées (une pour Cloclo, son « Poulidor, qui récupérait ses ex », ou l'ancien camarade de virées Sardou, « qui a fini par devenir aussi con et réac qu'on l'imaginait »), grappiller quelques miettes sur des seventies, où il se défonce à la coke (avec son « pote » Depardieu, en particulier), mais si peu... Sylvie, Nathalie, Aznavour ou Hendrix sont bien évoqués, mais jamais en profondeur. Guère plus, et parfois moins que pour tisser les louanges de Philippe Labro, Patrick Bruel ou -M-... « Johnny est à un moment de sa vie où il a beaucoup à dire », confie Amanda Sthers. Beaucoup, chez certains, c'est vraiment très peu.

Le 09/02/2013 - Mise à jour le 04/02/2013 à 16h55
Hugo Cassavetti - Telerama n° 3291

Claudie a écrit:Incroyable ce déchainement !!
Il est LIGHT ce bouquin...
Un peu d'émotion, un peu de tendresse. Quelques piques, mais rien de méchant... Je suis sidérée du déchainement médiatique et de certains "fans". Bruler aussi vite ce que vous adorez... Chacun a son avis... mais foutons lui donc la paix. Il nous a fait une super tournée, un super disque. Et on va se retrouver le 15 juin. Vous voulez quoi de plus ?

Un café et l'addition.

Et la montagne accoucha d'une souris... La montagne ? Johnny, monument national depuis cinquante ans. La souris ? Un petit livre léger comme l'air, Dans mes yeux, dans lequel l'idole aurait décidé « de tout dire et de se livrer sans fard, mais à une seule personne : Amanda Sthers ». Tout ? Vraiment ? Quelle déception pour ceux qui espéraient enfin entrer dans la tête de l'énigmatique icône, dont la pudeur et l'expression orale limitée ont cruellement nourri tant de caricatures et de quolibets. On pensait qu'enfin, détendu, en confiance avec une plume « amie », il livrerait de l'intérieur le récit vertigineux d'une carrière extraordinaire (quoi qu'on en pense artistiquement). Hélas... Dans mes yeux ne propose qu'un survol parcellaire et déséquilibré d'une vie entière, une confession truffée d'ellipses, d'impasses et de raccourcis frustrants, d'autant plus rageants qu'une bonne portion de l'ouvrage s'étend à n'en plus finir sur les colossales vertus (dont on ne doute pas) de la formidable Laeticia.

Bien sûr, on ne peut qu'être touché par les premières pages, consacrées à sa petite enfance : ce père qui l'abandonne à la naissance pour ne resurgir, intéressé, que lorsqu'il est devenu chanteur à succès. Mais cette anecdote, comme les rapports du jeune Jean-Philippe à sa cousine Desta ou à son père de substitution Lee Hallyday, son séjour londonien à l'adolescence et tant d'autres évoquées en surface, tout fan les connaît déjà — il suffisait de parcourir les innombrables biographies et sites existants. On peut sourire aussi aux rares piques distillées (une pour Cloclo, son « Poulidor, qui récupérait ses ex », ou l'ancien camarade de virées Sardou, « qui a fini par devenir aussi con et réac qu'on l'imaginait »), grappiller quelques miettes sur des seventies, où il se défonce à la coke (avec son « pote » Depardieu, en particulier), mais si peu... Sylvie, Nathalie, Aznavour ou Hendrix sont bien évoqués, mais jamais en profondeur. Guère plus, et parfois moins que pour tisser les louanges de Philippe Labro, Patrick Bruel ou -M-... « Johnny est à un moment de sa vie où il a beaucoup à dire », confie Amanda Sthers. Beaucoup, chez certains, c'est vraiment très peu.

Le 09/02/2013 - Mise à jour le 04/02/2013 à 16h55
Hugo Cassavetti - Telerama n° 3291

Claudie

Messages: 338
Date d'inscription: 01/03/2008



Eh bien voilà exactement mon ressenti sur ce livre !!!! Rien de nouveau pour tout fan!!!! Et rien de choquant au niveau des piques sur les autres artiste!!!passons vite à autre chose !!!!

Il est enfin arrivé la perle : Johnny se confesse : le bouqin qui fait tout le monde exploser comme une meteorite !!
je dois avouer qu'en 1 heure de temps j''avais parcouru l'essentiel . A la lecture , j'avoue , j'ai cru revenir au temps où on allait tout raconter a la maitresse : Madame ...il m'a poussé .....Madame : il m'a traité de ......
Mis a part le passage du pere absent ( dont on connaissait l'histoire de A a Z ) Moi aussi , je suis allé a OFFENBOURG a l'epoque de son service militaire et j'en ai vu sortir par une porte secondaire une moto rouge ..tellement surpris que je n'ai pas eu le temps d'immortaliser la scene avec mon INSTAMATIC !!!!
Allez Johnny sans rancune .......a bientot dans les Arenes de NIMES ( pour un tout nouveau show : LOL !!! )

Lu en 2 jours! J'ai bien aimé ce livre et apprécié la proximité avec le "JE"
Du lu et du connu, mais en news version.

[quote="Claudie"]Incroyable ce déchainement !!
Il est LIGHT ce bouquin...
Un peu d'émotion, un peu de tendresse. Quelques piques, mais rien de méchant... Je suis sidérée du déchainement médiatique et de certains "fans". Bruler aussi vite ce que vous adorez... Chacun a son avis... mais foutons lui donc la paix. Il nous a fait une super tournée, un super disque. Et on va se retrouver le 15 juin. Vous voulez quoi de plus ?
--------------------------

Partant de ce principe, on va tous dire à chaque Post, Jophnny est le meilleur, son spectacle est le meilleur, son disque est le meilleur.
A quoi bon un Forum de discussion ? On peut donc fermer ce forum en partant de ce principe.
Depuis 40 ans j'ai laisse un peu beaucoup énormément de Pognon sur le nom d' hallyday en disque, livre Carte postale, affiche, revue, spectacle, place de cinéma.....Et je ne le regrette absolument pas. come plein de gens ici je le sais
Il me semble que je me place en consommateur puisque le Mot Fan ne m'est plus attribué.
Si le livre (je n'ai pas encore donné mon avis puisque juste finit de lire hier soir) accouche d'une montagne c'est justement encore un problème.
A quoi bon orchestrer un mouvement médiatique comme celui ci pour cela ?
je n'ai pas souvenir d'un tel remue ménage pour un disque ou un spectacle.....C'est surement la presse qui a encore manipulé....
La presse celle que l'on manipule que que l'on renie ensuite.....L'histoire on la connait.

Vraiment on va vite s'ennuyer, car on va encore lire "quel titre de Johnny voulez vous qu'il chante" et que l'on va classer encore et encore, esperer et s'extasier devant ce titre qu'il n'a pas chanté depuis longtemps.....
On peut aussi faire des comptse à rebours pour chaque ville de la tournée (DP idée gratuite que tu n'est pas obligé de suivre , c'est une plaisanterie )
Le but est de parler de Johnny mais quand on est pas dans l'adoration Béat et sans reproche on est un fan Indigne.
Alors oui je suis un fan Indigne. pour faire plaisir. puisque c'est un sujet Tabou.
Mais le Rock je le rappelle c'est une musique de révolte, débat clos de mon coté

Bon Dimanche à tous.
Jipé

Salut j'avais donné mon avis sur le livre, mais mon commentaire à disparu à moi que ce soit moi qui ai fait une bêtise c'est possible.

J'ai aimé le livre et j'avoue ne pas comprendre pourquoi il est fait autant parler. Le bémol c'est Adeline, c'était pas indispensable, leur attitude à tous les deux n'est pas indispensable. Dans "Destroy" Johnny allait beaucoup plus loin quand il parlait de ses conquêtes... Il disait avoir eu une aventure alors les parents de Adeline étaient vivaient sous le même toit. Elle n'avait pas été tendre avec lui non plus quand elle disait qu'il ne voulait pas qu'elle fasse des études (de droit je pense) et qu'ils se levaient le matin avec des amphétamines. Comme Johnny l'a dit sur dans le "grand journal", il aurait du zappé le sujet.

Cloclo, pfffff franchement c'est pas bien méchant, le biopic sur sa vie l'est franchement plus et tout ce n'est un secret pour personne que ce type était un enfoiré.

Sardou, mouais bof... on s'en fout il n'est pas du genre à se taire non plus.

Les sosies, ça le fait flipper, moi je les trouve pathétiques. Franchement quand vous êtes dans la fosse et que voyez des mecs avec des cheveux jaunes, la bouche tiré vers le bas avec quelques poils sur le menton y a de quoi trouver ça ridicule.

Le problème de notre époque, c'est qu'on ne peut plus rien dire comme on le ressent. Tout le monde se sent blessé, attaqué par tout et rien. Imaginez Coluche en 2013, il aurait du mal.
Je suis souvent mal à l'aise avec la vie privée, et je le répète Adeline c'était pas indispensable mais bon... de là a en faire une affaire d'état. Elle va lui faire un procès, elle va gagner, il a du pognon, il paiera un peu, bon c'est comme ça ils ne vont pas en mourir.

Sinon le reste est plutôt sympa, même touchant. La seule chose qui me dérange, c'est les fautes historiques. Michel Polnareff au PDS c'était en 1971 et non pas en 1976. David à la batterie c'était en 1979 et pas en 1979. Johnny se pose la question: "Je ne sais plus si j'étais avec Nathalie Baye quand j'ai fais le spectacle - le survivant - " alors qu'il lui dédiait une chanson tous les soirs (c'était facile à vérifier il suffisait de se taper le DVD).

David à la batterie c'était en 1979 et pas en 1979.

c'est aussi une faute historique

il faudrait quand même s'entendre sur la date alors c'est 1979 ou 1979

et pour rappel ne pas oublier à 14h10 sur la 2 dans "vivement dimanche" JOHNNY

mdr l'arroseur arrosé. David c'était en 1979 et pas en 1976. Voilà
autant pour moi

dpcharle a écrit:et pour rappel ne pas oublier à 14h10 sur la 2 dans "vivement dimanche" JOHNNY

il parlera du livre en deuxième partie de vivement dimanche

la premiére partie a duré environ 20 mn, il a parlé de sa collaboration avec pascal obispo pour le disque "ce que je sais" avec extrait des duos pour "ce que je sais" et "allumer le feu" et en entier la chanson "20 ans".Il a parlé de sa tournée qui recommence en Juin, d'une autre tournée qui débuterait en octobre à l'étranger (chine et japon notamment) et enfin d'une nouvelle tournée en France dés le début de l'année prochaine

Je ne veux pas parler du livre que je n'ai pas lu , mais je conseille , l'émission de Bouvard sur RTL " Les Grosses Têtes " , du 14/2/2013 , en

poscast , sur l'antenne .

Ecoutez , le long passage d'Amanda Sthers , comme invitée .

Ce qui est dit sur Johnny , est interessant .

Toute l'équipe , respecte l'artiste , notamment , Phililippe Labille , et bien sûr, Bouvard .

Comme je l'ai dit dans quelques posts , je ne connaissais pas Amanda Sthers , mais , j'ai appris depuis , que c'était l'ex- femme de Patrick

Bruel , je comprends mieux la collaboration maintenant !.

Je me demandais aussi , d'où venait l'accointance entre , Amanda et Johnny , et pourquoi , tant de liberté d'expression , et de confiance , en ce

qui concerne Johnny , par rapport à cette femme .

C' est une femme de talent qui a écrit des pièces de théâtre notamment , et , lorsque je l'entends parler ( notamment de Johnny) , je suis

confiant et heureux du succès de ce livre (que je n'achèterai pas ) .

L'une des rares personnes , qui à mon avis , a bien compris Johnny , et surtout l'homme .

JHyou a écrit:Salut j'avais donné mon avis sur le livre, mais mon commentaire à disparu à moi que ce soit moi qui ai fait une bêtise c'est possible.

J'ai aimé le livre et j'avoue ne pas comprendre pourquoi il est fait autant parler. Le bémol c'est Adeline, c'était pas indispensable, leur attitude à tous les deux n'est pas indispensable. Dans "Destroy" Johnny allait beaucoup plus loin quand il parlait de ses conquêtes... Il disait avoir eu une aventure alors les parents de Adeline étaient vivaient sous le même toit. Elle n'avait pas été tendre avec lui non plus quand elle disait qu'il ne voulait pas qu'elle fasse des études (de droit je pense) et qu'ils se levaient le matin avec des amphétamines. Comme Johnny l'a dit sur dans le "grand journal", il aurait du zappé le sujet.

Cloclo, pfffff franchement c'est pas bien méchant, le biopic sur sa vie l'est franchement plus et tout ce n'est un secret pour personne que ce type était un enfoiré.

Sardou, mouais bof... on s'en fout il n'est pas du genre à se taire non plus.

Les sosies, ça le fait flipper, moi je les trouve pathétiques. Franchement quand vous êtes dans la fosse et que voyez des mecs avec des cheveux jaunes, la bouche tiré vers le bas avec quelques poils sur le menton y a de quoi trouver ça ridicule.

Le problème de notre époque, c'est qu'on ne peut plus rien dire comme on le ressent. Tout le monde se sent blessé, attaqué par tout et rien. Imaginez Coluche en 2013, il aurait du mal.
Je suis souvent mal à l'aise avec la vie privée, et je le répète Adeline c'était pas indispensable mais bon... de là a en faire une affaire d'état. Elle va lui faire un procès, elle va gagner, il a du pognon, il paiera un peu, bon c'est comme ça ils ne vont pas en mourir.

Sinon le reste est plutôt sympa, même touchant. La seule chose qui me dérange, c'est les fautes historiques. Michel Polnareff au PDS c'était en 1971 et non pas en 1976. David à la batterie c'était en 1979 et pas en 1979. Johnny se pose la question: "Je ne sais plus si j'étais avec Nathalie Baye quand j'ai fais le spectacle - le survivant - " alors qu'il lui dédiait une chanson tous les soirs (c'était facile à vérifier il suffisait de se taper le DVD).

Il fait parler car aux yeux du grand public c'est du grand déballage personnelle ! et je peut dire que autour de moi Johnny a beaucoup dessus avec ce livre alors qu'il était très apprécié musicalement je penses qu'avec ce livre la cote de popularité vas baisser je penses ! mes moi je l'espère pas. Quand moi je trouve ce livre et un vrai déballage personnelle sur ce coup la Johnny ma un peut dessus même si c'est vraie que j'avais dis que ce livre fessait très rock n roll parler sur quelqu'un qui n'est plus de ce monde ce n'est par pour moi ! (je parle du passage de Claude François ) pourtant je ne suis pas fan ! encore une fois je suis très partager sur ce livre mes j'ai quand même une part de refus de ce livre .. ! Bien a vous tous !!

jipe61 a écrit:
Partant de ce principe, on va tous dire à chaque Post, Jophnny est le meilleur, son spectacle est le meilleur, son disque est le meilleur.
A quoi bon un Forum de discussion ? On peut donc fermer ce forum en partant de ce principe.
Depuis 40 ans j'ai laisse un peu beaucoup énormément de Pognon sur le nom d' hallyday en disque, livre Carte postale, affiche, revue, spectacle, place de cinéma.....Et je ne le regrette absolument pas. come plein de gens ici je le sais
Il me semble que je me place en consommateur puisque le Mot Fan ne m'est plus attribué.
Si le livre (je n'ai pas encore donné mon avis puisque juste finit de lire hier soir) accouche d'une montagne c'est justement encore un problème.
A quoi bon orchestrer un mouvement médiatique comme celui ci pour cela ?
je n'ai pas souvenir d'un tel remue ménage pour un disque ou un spectacle.....C'est surement la presse qui a encore manipulé....
La presse celle que l'on manipule que que l'on renie ensuite.....L'histoire on la connait.

Vraiment on va vite s'ennuyer, car on va encore lire "quel titre de Johnny voulez vous qu'il chante" et que l'on va classer encore et encore, esperer et s'extasier devant ce titre qu'il n'a pas chanté depuis longtemps.....
On peut aussi faire des comptse à rebours pour chaque ville de la tournée (DP idée gratuite que tu n'est pas obligé de suivre , c'est une plaisanterie )
Le but est de parler de Johnny mais quand on est pas dans l'adoration Béat et sans reproche on est un fan Indigne.
Alors oui je suis un fan Indigne. pour faire plaisir. puisque c'est un sujet Tabou.
Mais le Rock je le rappelle c'est une musique de révolte, débat clos de mon coté

Bon Dimanche à tous.
Jipé

+24000

Dans le Journal Du Dimanche d'hier 17/02



et cette publicité

À mon avis la date de la rencontre avec Elvis n'est pas correcte ni l'endroit ... Elvis n'a jamais donné de concerts à Atlantic City de toute sa vie

Je pense plutôt que c'est .... Lake Tahoe en mai 1974.... Johnny avait été faire un trip moto au USA....à ce moment...

(Citation du livre Dans mes yeux)

C’est ici à Montpellier, il y a trente-cinq ans, que j’ai appris la mort d’Elvis. Ce fut un choc
réel. J’avais demandé qu’on baisse toutes les lumières de la salle et, avec la foule, nous avons respecté
une minute de silence pour le King. Une année avant j’avais pris l’avion seul pour assister à un concert
d’Elvis à Atlantic City. Je me disais qu’il fallait que je le voie sur scène, au moins une fois. Je suis arrivé
à la salle avec mon petit ticket. Il jouait dans un casino. Il y avait des tables avec des banquettes
circulaires. Je me suis retrouvé assis avec des gens que je ne connaissais pas et qui ne me connaissaient
pas non plus ! Il passait deux fois dans la soirée, à dix-neuf et vingt et une heures. Quand le présentateur a
annoncé : « And now ladies and gentlemen, mister Elvis Presley ! », ça m’a filé la chair de poule. Et
puis, il est monté sur scène et là j’ai été très déçu, il était très gros, presque obèse. Mais c’était Elvis
quand même et la voix vibrait là, devant moi. Je me suis senti bizarre de sortir de la salle seul comme ça,
sans avoir rien pu lui dire. Je suis remonté dans ma chambre. Je dormais dans l’hôtel dans lequel il
jouait. C’est comme ça, Atlantic City, un genre de Las Vegas plus ringard. Il y a des shows dans chaque
grand hôtel. J’embarquais le lendemain à huit heures pour rentrer à Paris, je suis allé me coucher. Le
téléphone a sonné. C’était Sammy Davis Jr. Il me demande ce que je fais ici ! Il avait eu vent de ma
présence, je ne sais pas comment. Il m’a dit qu’il passait dans l’hôtel d’en face et qu’il m’attendait. J’ai
rejoint sa famille chaleureuse, sa femme et sa fille. A la fin de son show, nous sommes allés dans son
immense suite, comme un appartement, dans le casino dans lequel il se produisait. Sammy m’a souri et a
pris le téléphone pour appeler le manager d’Elvis. Il lui a demandé s’il pouvait me rencontrer.
Malheureusement, Elvis était souffrant et venait de partir se coucher. Nous avons passé la soirée à
regarder des films, Sammy Davis et moi. Jamais je n’ai rencontré Elvis. Et voilà qu’il était mort. Et voilà
que je transformais les applaudissements de mes fans en un silence pour lui. Et puis trente-cinq années de
bruit ont passé. C’est à ça que je pense en entrant dans la nouvelle salle de l’Arena. Au temps, qui
n’arrête pas de passer.

martine a écrit:
À mon avis la date de la rencontre avec Elvis n'est pas correcte ni l'endroit ... Elvis n'a jamais donné de concerts à Atlantic City de toute sa vie

Ou alors il a vu un sosie...

Ou alors c'est un mensonge de plus dans ce bouquin, qui en contient deja pas mal, mais l'auteur vous avez prevenu............. Amanda Sthers, vous prévient dans sa préface que le livre ne contient pas la pure vérité...

jojo_75 a écrit:

martine a écrit:
À mon avis la date de la rencontre avec Elvis n'est pas correcte ni l'endroit ... Elvis n'a jamais donné de concerts à Atlantic City de toute sa vie

Ou alors il a vu un sosie...

H'a très bon jojo 75

Les propos d Adeline font que sur certain site il parle de pédophilie aie aie aie manquait plus que ça !!! Les détracteurs vont s en donner à cœur joie

jieub a écrit:Les propos d Adeline font que sur certain site il parle de pédophilie aie aie aie manquait plus que ça !!! Les détracteurs vont s en donner à cœur joie

Tu remarqueras que les journalistes dans la grande majorité se contentent de reproduire cette partie de la lettre ouverte mais commentent très peu cette mise en cause.
Reste que ces propos sont sacrément tendancieux.

jojo_75 a écrit:

jieub a écrit:Les propos d Adeline font que sur certain site il parle de pédophilie aie aie aie manquait plus que ça !!! Les détracteurs vont s en donner à cœur joie

Tu remarqueras que les journalistes dans la grande majorité se contentent de reproduire cette partie de la lettre ouverte mais commentent très peu cette mise en cause.
Reste que ces propos sont sacrément tendancieux.

Il est sur que les detracteurs pourraient se retrouver devant les tribunaux car une telle accusation n'est pas rien surtout sans aucune preuve a l'appuie !

Article sur RTL.be :

"Avant même publication, toute la presse s’emballait déjà. « Johnny balance », « Johnny flingue ses potes ». Trop contente de faire ses choux gras d’un pseudo-dérapage de l’idole toujours attendue au tournant. Et de publier un ramassis d’extraits, censés résumer l’ouvrage. Ce lecteur-là, avide de polémiques et de règlements de compte, sera bien déçu en ouvrant l’autobiographie de Johnny Hallyday."

L'article intégral Biographie de Johnny Hallyday : l’histoire d’un malentendu

jojo_75 a écrit:

martine a écrit:
À mon avis la date de la rencontre avec Elvis n'est pas correcte ni l'endroit ... Elvis n'a jamais donné de concerts à Atlantic City de toute sa vie

Ou alors il a vu un sosie...

En faite d'après mes souvenirs, il me semble que j'avais lu dans un hit magazine ou un salut les copains de l'époque que Johnny avait vu Elvis en concert à Atlanta en 1973 où il a donné 4 concerts en juin \ juillet (Atlanta // Atlantic ...)

SLUNKY a écrit:

jojo_75 a écrit:

martine a écrit:
À mon avis la date de la rencontre avec Elvis n'est pas correcte ni l'endroit ... Elvis n'a jamais donné de concerts à Atlantic City de toute sa vie

Ou alors il a vu un sosie...

En faite d'après mes souvenirs, il me semble que j'avais lu dans un hit magazine ou un salut les copains de l'époque que Johnny avait vu Elvis en concert à Atlanta en 1973 où il a donné 4 concerts en juin \ juillet (Atlanta // Atlantic ...)

Atlanta : 29 et 30 juin 1973

"Then it was back to Atlanta for another three shows at the Omni. There was just one show on the first day, with a very rare excerpt of Vaya Con Dios just before the introductions. The next day had two shows at 3 & 8.30pm. Just before the first show, someone told Elvis that a five-year-old boy named Robbie Barnes was attending the show dressed in a tiny jumpsuit. During the show Elvis asked to turn the spotlight on the boy. At the end of the concert, Elvis gave him the cape of his Thunderbird suit, which can be regarded as one of the heaviest and most expensive. In the background, J.D. Sumner can be heard mumbling: "Elvis give the boy your belt too!" Elvis did!"

Source : Elvis Presley in Concert - On Tour June 20 - July 3, 1973

Atlanta 21 juin 1973 :

"The tour then moved onto Atlanta for the first, of five, shows in its Omni Coliseum. He wore the Orange Starburst suit for the show, which he would wear at the next show in the same venue in eight days time."


Atlanta 3 juillet 1973 :

"The final night of this tour was the best of the whole tour, with it rated very highly among many fans. It was back to Atlanta for the fifth time, due to demand for tickets at the other shows. Wearing the Egyptian Pharaoh suit for the final time, the show started strongly with Help Me Make It Through The Night being performed early in the show, including an excerpt of Rainy Night In Georgia during it. There were also rare versions of My Way, Something (dedicated to Linda Thompson), Release Me & the highlight of the show - probably the best live version of Memphis Tennessee."

Même source.

Si c'était en 73, Elvis était au top physiquement.
L'année 73 est souvenons-nous, celle du célébrissime show d'HAWAI ( qui reste inégalé encore aujourd'hui en termes d'audience mondiale ).
J'avais entendu parler que JH aurait vu Elvis en 74 à LAKE TAHOE ( il était encore très bien ).
Si c'est vraiment en 76 mais qu'il s'est juste gourré de ville (encore que ça m'étonne vu la précision de l'anecdote avec Sammy Davis et les commentaires aigres sur ATLANTIC CITY), alors donc, si c'est 76, Elvis avait commencé à s'empater même si la voix restait la plus belle du monde et le répertoire exceptionnel.
Cette année là, notamment, il enregistra le titre HURT pour l'album ELVIS PRESLEY BOULEVARD.
Faut pas avoir la voix de Vincent DELERM pour chanter HURT !
De toutes façons, Johnny est un peu faché avec les dates ...

Sinon, côté bouquin, j'y reviendrai mais je viens de le finir et ...j'ai beaucoup aimé !
Vraiment beaucoup.
Au moins, s'il y a des erreurs, c'est lui qui les commet et non pas "tartempion" qui écrit ses propres souvenirs à propos d'HALLYDAY en enjolivant ou en noircissant le tableau selon les intentions de l'auteur voire en inventant carrément, ce qui fut aussi souvent le cas.

J'ai beaucoup aimé la démarche d'Amanda pour ce livre...

Je pense que c'est le livre de référence sur Johnny.

Avec ce livre on est avec Johnny, mieux qu'avec Destroy qui avait un côtè trop m'as-tu vus dans ma rock and roll attitude (déjà le titre).

Amanda à su porter ses paroles, en les faisant rouler sur son corps chaud et tendre, pour atteindre ses doigts et le clavier...(elle me fait craquer cette nana).

Johnny a fait vraiment une thérapie avec ce livre, c'est pour cela que maintenant délivré, il est en pleine forme à la télé, il respire enfin après avoir sorti tout cela. Merci Amanda, tu as fait du bien à Johnny et on vous regarde dans les interviews avec un plaisir certain.

Bon moment passé...

Je ne vais pas dévoiler des extrais du livre, car rien ne vaut sa lecture pour l'apprécier pleinement.

Il est impossible de vérifier les histoires que Johnny raconte, parce que sa mémoire est en constante évolution. Ses souvenirs sont flous, pour ne pas dire plus. J'ai beaucoup de sympathie pour Amanda Sthers, parce qu'elle avait une tâche ingrate ingrate et sans espoir. Un meilleur titre pour le livre aurait été: Mémoires d'un rocker amnésique.

Tous ceux qui ont essayé de déterminer le moment et le lieu où Johnny a vu Elvis sont tombés dans un de ses trous de mémoire. Soit dit en passant, Atlantic City, New Jersey n'est pas la même ville qu'Atlanta, Georgia. Mais tout cela est finalement sans importance, parce que nous ne pouvons pas faire confiance à ce que Johnny a dit en 2012. Ci-dessous on trouvera ce qu'il a dit il ya trente ans. Est-il vrai? Votre conjecture est aussi bonne que la mienne...

Johnny Hallyday: La dernière idole par Serge Loupien (1984) pp. 22-23

Q: Est-ce que tu as vu Presley?

JH: Oui, mais à une mauvaise époque. L'année qui a précédé sa mort. Il était déjà trés gros. Quand le présentateur a annoncé: "Voici M. Elvis Presley!..." j'ai eu la frisson. Mais au bout d'une chanson, j'ai commoncé à le détailler un peu. Il faisait bien cent vingt kilos. Ce qui m'a déçu, c'est qu'il a chanté quatre rocks en pot-pourri. Même pas en entier. Il a fait une heure des chansons lentes et quatre minutes de pot-pourri de rock 'n' roll, c'est tout. Seulement c'était à Las Vegas, et il n'y avait que des gens de cinquante ans dans la salle. Il avait adapté son tour de chant.
___________________________________________
Hélas, Elvis est mort , mais le roi de rock 'n' roll est toujours vivant.
Rockez, Johnny!

Cette version la est surement la plus proche de la realite !

Il a du tomber sur un bien mauvais jour !
Il suffit de possèder les LIVES des années 70 pour s'apercevoir que la réalité était toute autre.
La part de rocks était au minimum de 50 % du spectacle même les dernières années.
Par contre, il faisait souvent un ou deux medleys et parfois écourtait certains rocks comme JAILHOUSE ROCK ou HOUND DOG qu'il ne chantait plus avec beaucoup d'enthousiasme à mon avis.
Par contre, les années 70 sont aussi celles de la création de titres punchys tels que :

SEE SEE RIDER
POLK SALAD ANNIE
BURNING LOVE
RAIDED ON ROCK
STREAMROLLER BLUES
PATCH IT UP
WALK A MILE IN MY SHOES
SUSPICIOUS MINDS
MY BABE
PROMISED LAND
WAY DOWN ...

Johnny fait lui aussi la part belle aux ballades depuis longtemps et on ne s'en plaint pas.

Toujours n° 1 des ventes dans sa catégorie

et pourtant je ne l'ai pas acheté

Oui, mais à une mauvaise époque. L'année qui a précédé sa mort (donc 1976). Il était déjà trés gros. Quand le présentateur a annoncé: "Voici M. Elvis Presley!..." j'ai eu la frisson. Mais au bout d'une chanson, j'ai commencé à le détailler un peu. Il faisait bien cent vingt kilos. Ce qui m'a déçu, c'est qu'il a chanté quatre rocks en pot-pourri. Même pas en entier. Il a fait une heure des chansons lentes et quatre minutes de pot-pourri de rock 'n' roll, c'est tout. Seulement c'était à Las Vegas (passage à Las Vegas en 1976 de Presley du 2 décembre au 12)

On va trouver, j'ai des comptes rendus surement de ces concerts, il suffit qu'il y a écrit dans l'un de "Tiens Johnny est là"...

A suivre,.

Jean-PhilippeUSA a écrit:Il est impossible de vérifier les histoires que Johnny raconte, parce que sa mémoire est en constante évolution. Ses souvenirs sont flous, pour ne pas dire plus. J'ai beaucoup de sympathie pour Amanda Sthers, parce qu'elle avait une tâche ingrate ingrate et sans espoir. Un meilleur titre pour le livre aurait été: Mémoires d'un rocker amnésique.

Et rédigé par Johnnie To?

oui...en japonais en plus....