3 jours au SDF
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3 jours au SDF
Je suis toujours ici a Paris
j attends ce soir
concert hier super genial on en redemande
entree simple mais superbe comme a bruxelles ecepte que le batteur descend des griffes de l aigle
Johnny arrive lui par le sol mais on le le oit aue lorsaue les feu dartifice sont finis
une voi a couper le souffle.
ce soir malheureusement cest mom dernier sdf.
je vais regretter ces 3 jours paaser au sdf.
contrairement a ce qui a ete dit Johnny n arrive pas par l aigle.
j attends ce soir
concert hier super genial on en redemande
entree simple mais superbe comme a bruxelles ecepte que le batteur descend des griffes de l aigle
Johnny arrive lui par le sol mais on le le oit aue lorsaue les feu dartifice sont finis
une voi a couper le souffle.
ce soir malheureusement cest mom dernier sdf.
je vais regretter ces 3 jours paaser au sdf.
contrairement a ce qui a ete dit Johnny n arrive pas par l aigle.
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http://www.hallyday.com
Un site fait par des fans pour les fans (et les autres!)
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Re: 3 jours au SDF
A ce soir Phil, n'oublie pas notre rendez vous pour la remise des affiches.
Jolo
Jolo
jolo- Messages : 190
Date d'inscription : 09/02/2008
Re: 3 jours au SDF
http://www.lesechos.fr/depeches/culture-art-de-vivre/afp_00152537.htm?xtor=RSS-2094
Johnny Hallyday au Stade de France dans une ambiance survoltée
[ 30/05/09 - 07H51 - AFP ] AFP - Pierre Verdy
Les fans ont participé activement vendredi soir au premier des trois concerts parisiens de la dernière tournée de Johnny Hallyday, reprenant avec coeur tous les refrains de ses tubes, dans l'ambiance sentimentale et survoltée du Stade de France.
La tournée, commencée le 8 mai à Saint-Etienne, doit s'achever le 22 novembre à Clermont-Ferrand.
Les 75.000 places en vente avaient trouvé preneurs depuis des mois, et les VIP n'avaient pas boudé leur plaisir : Alain Delon, Hugues Auffray, Robert Hossein, Chantal Goya, Robert Charlebois étaient là, et, parmi les politiques, le ministre des affaires étrangères Bernard Kouchner, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin... "Je suis un fan", glissait M. Raffarin. "Ca fait 40 ans que je le connais", confiait Robert Charlebois. Chantal Goya se disait "émue" : "Comme Johnny il y en a très peu, ça fait de la peine qu'il arrête...".
AFP - Pierre Verdy
La mise en scène était maximale, avec un aigle métallique aux yeux rouges lumineux surplombant la scène installée à une extrêmité du stade. Les jeux de couleur étaient incessants, avec des jets de lumière, des giclées de fumée, des images acidulées défilant sur des écrans. Pour "Allumer le feu", le chanteur lui-même semblait cerné par un brasier tandis que la scène était bordée d'une rampe de geysers de feu.
Pendant plus de deux heures et demi, les fans ont repris les refrains des chansons de jadis: "oh que je t'aime que je t'aime", "excuse-moi partenaire", "allumer le feu", "on a tous en nous quelque chose de Tennessee", "qu'on me donne l'envie, l'envie d'avoir envie"...
AFP - Pierre Verdy
Le public se déhanchait au rythme du rock'n roll. "Est-ce que tu veux m'aimer", disait une chanson. "Oui !", hurlait le public. On voyait défiler sur les écrans les grandes plaines américaines et cette fameuse route 66 (bientôt l'âge du chanteur) qui donne son nom à la tournée.
"Quel bonheur d'être avec vous ce soir", lançait Johnny. "Je vais toujours vous avoir dans le coeur, vous graver dans ma vie". "Et maintenant que vais-je faire, maintenant que vous êtes partis", concluait le chanteur, avec une adaptation de la chanson d'Aznavour ("maintenant que tu es partie") avant de disparaître dans une trappe enfumée.
Johnny Hallyday au Stade de France dans une ambiance survoltée
[ 30/05/09 - 07H51 - AFP ] AFP - Pierre Verdy
Les fans ont participé activement vendredi soir au premier des trois concerts parisiens de la dernière tournée de Johnny Hallyday, reprenant avec coeur tous les refrains de ses tubes, dans l'ambiance sentimentale et survoltée du Stade de France.
La tournée, commencée le 8 mai à Saint-Etienne, doit s'achever le 22 novembre à Clermont-Ferrand.
Les 75.000 places en vente avaient trouvé preneurs depuis des mois, et les VIP n'avaient pas boudé leur plaisir : Alain Delon, Hugues Auffray, Robert Hossein, Chantal Goya, Robert Charlebois étaient là, et, parmi les politiques, le ministre des affaires étrangères Bernard Kouchner, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin... "Je suis un fan", glissait M. Raffarin. "Ca fait 40 ans que je le connais", confiait Robert Charlebois. Chantal Goya se disait "émue" : "Comme Johnny il y en a très peu, ça fait de la peine qu'il arrête...".
AFP - Pierre Verdy
La mise en scène était maximale, avec un aigle métallique aux yeux rouges lumineux surplombant la scène installée à une extrêmité du stade. Les jeux de couleur étaient incessants, avec des jets de lumière, des giclées de fumée, des images acidulées défilant sur des écrans. Pour "Allumer le feu", le chanteur lui-même semblait cerné par un brasier tandis que la scène était bordée d'une rampe de geysers de feu.
Pendant plus de deux heures et demi, les fans ont repris les refrains des chansons de jadis: "oh que je t'aime que je t'aime", "excuse-moi partenaire", "allumer le feu", "on a tous en nous quelque chose de Tennessee", "qu'on me donne l'envie, l'envie d'avoir envie"...
AFP - Pierre Verdy
Le public se déhanchait au rythme du rock'n roll. "Est-ce que tu veux m'aimer", disait une chanson. "Oui !", hurlait le public. On voyait défiler sur les écrans les grandes plaines américaines et cette fameuse route 66 (bientôt l'âge du chanteur) qui donne son nom à la tournée.
"Quel bonheur d'être avec vous ce soir", lançait Johnny. "Je vais toujours vous avoir dans le coeur, vous graver dans ma vie". "Et maintenant que vais-je faire, maintenant que vous êtes partis", concluait le chanteur, avec une adaptation de la chanson d'Aznavour ("maintenant que tu es partie") avant de disparaître dans une trappe enfumée.
caraibes1- Messages : 2171
Date d'inscription : 04/02/2008
Localisation : Ici, discrète surtout sur internet....danger!!
Re: 3 jours au SDF
Une entrée classe, une voix à couper le souffle, un déanchement du tonnerre, une émotion palpable, un Johnny en grande forme quoi !!!!!!
Merveilleuse soirée
Merveilleuse soirée
Spirkel- Messages : 17
Date d'inscription : 30/05/2009
Age : 49
Localisation : moselle
Re: 3 jours au SDF
Je ne serais pas au stade ce soir, mais je vais regarder le concert sur TF1, ok je n'aurais pas l'ambiance du stade, mais faute de mieux
Invité- Invité
Re: 3 jours au SDF
moi non plus je n'y serai pas je me réserve pour le plus beau stade et le meilleur public LENS
dpcharle- Messages : 9350
Date d'inscription : 04/02/2008
Age : 74
Localisation : wasquehal - nord
caraibes1- Messages : 2171
Date d'inscription : 04/02/2008
Localisation : Ici, discrète surtout sur internet....danger!!
caraibes1- Messages : 2171
Date d'inscription : 04/02/2008
Localisation : Ici, discrète surtout sur internet....danger!!
Re: 3 jours au SDF
http://www.purepeople.com/article/johnny-hallyday-des-repetitions-decontractees-a-l-emotion-de-son-show-phenomenal-son-apotheose-au-stade-de-france-en-images_a32531/1
Cette fois-ci, c'était la der de der : hier soir, vers 23h30, le Taulier a jeté les clés du Stade de France. A l'issue de sa troisième date parisienne dans la colossale enceinte de Saint-Denis, Johnny Hallyday quittait pour la dernière fois l'impressionnante scène en même temps que le regard rougeoyant de l'aigle qui a surplombé ses trois performances phénomènales s'éteignait. C'était le dernier concert de Johnny ici...
Vendredi, le rockeur, contre toute attente, était... pétrifié par le trac ! Ce qui ne l'a évidemment pas empêché de livrer un show à couper le souffle, ému aux larmes devant une fosse en liesse, un stade vibrant comme un seul homme et une tribune présidentielle garnie de célébrités. La veille, Johnny Hallyday avait répété avec son fils David, Sylvie Vartan, et avec ses sensationnels musiciens (énorme Robin Le Mesurier aux guitares, époustouflant Greg Zlap à l'harmonica, irrésistible Amy Keys aux choeurs... et les Vine Street Horns aux cuivres, ébouriffants), devant 1000 personnes invitées par les collectivités locales, le lunettier Optic 2000. Ultimes répèt' en toute décontraction devant, également, une poignée de ses fans les plus chevronnés. Samedi, la famille Hallyday était au complet : Estelle Lefébure était présente avec ses filles Ilona et Emma. David Hallyday, Sylvie Vartan et Tony Scotti, Laura Smet et son amoureux (frère de Stéphane Delajoux, l'ex d'Isabelle Adjani). Spectaculaire ovation à l'entrée de Laeticia et des deux filles du couple, Joy dans les bras, les oreilles couvertes par des anti-bruits décorés de stickers faits par sa grande soeur Jade - dont s'est occupé, le samedi soir, un certain Jean Reno. Dimanche, le Taulier s'est complètement lâché : on pensait même que... ça ne finirait jamais. Dans une forme du tonnerre, Jojo a donné 2h50 de concert, rejoint comme la veille par son fils David sur Sang pour sang (après avoir expédié dans la foule ses baguettes de batteur sur Allumer le feu) puis Sylvie Vartan (Le bon temps du rock'n'roll) - un sacré flashback d'une trentaine d'années. Dans la tribune présidentielle, pour ce dernier passage parisien : Jean-Luc Delarue, Thomas Langmann, Paul Personne, Philippe Lavil, Muriel Robin et Anne, Cathy et David Guetta, Catherine Lara, Serge Lama, Emmanuel Chain, Florent Pagny, Vincent Perez et Karine Sylla, Kad Merad, Luc Besson et sa femme Virginie, Sébastien Folin, Henri Leconte, Jean Roch, Brice Hortefeux, Line Renaud, Michèle Alliot-Marie, Line Renaud (la marraine de Johnny), Michel Drucker, Jean Todt, Clémentine Célarié...
Certes, le spectacle concocté pour les stades de ce Tour 66 s'achève sur une reprise ô combien éloquente du Et maintenant auquel le timbre de Bécaud, vibrant et tonitruant lui aussi, reste attaché : une chanson poignante qui, dans le cas de Johnny, éclaire ses adieux, ses ultimes sorties d'une lumière ambigue. Mais sublime. Comment vouloir se retirer quand on a fait de la scène et du public... sa vie, à proprement parler ? Mais comment, cependant, continuer lorsque le corps impose sa lassitude, après soixante-six années dont cinquante à projeter sans réserve, inconditionnellement, tout ce qu'il recèle d'énergie...
L'adieu de Johnny, de toute évidence, n'est pas plus simple pour lui que pour tous ceux qui se sentent inexpugnablement jeunes lorsqu'ils sont face à leur idole, flamboyante dans ses oeuvres. Au Stade de France comme à chacune des étapes de ce Tour 66 qui emprunte une route sans retour, on aura tous été jeunes et nostalgiques, euphoriques et inquiets, transcendés et atterrés - par l'horizon de son dénouement. Par bonheur, pas de demi-mesure : que Johnny quitte la scène avec émotion, il ne risque pas pour autant de la quitter sans panache.
Le panache... "Le panache n'est pas la grandeur, mais quelque chose qui s'ajoute à la grandeur, et qui bouge au-dessus d'elle, observait Edmond Rostand dans son discours de réception à l'Académie française. C'est quelque chose de voltigeant, d'excessif et d'un peu frisé. (...) Plaisanter en face du danger, c'est la suprême politesse, un délicat refus de se prendre au tragique ; le panache est alors la pudeur de l'héroïsme, comme le sourire par lequel on s'excuse d'être sublime." Voilà une peinture du panache, et pardonnez le mélange des genres, qui sied au dernier tour de chant de Johnny.
Chaque élément de cette "route 66" qu'a pavée le rockeur et qu'il sillonne jusqu'à sa retraite constitue en soi un morceau de bravoure, de ses duos avec sa choriste-diva, avec son fils David Hallyday ou avec son ex-compagne et mère du précédent Sylvie Vartan (Le bon temps du rock'n'roll), jusqu'à cet incroyable medley très sixty-six, très Presley... Un tour de force, un numéro régalien. Notre King.
Indiscutablement, c'est une sortie éminemment rock'n'roll. Mais le panache, c'est aussi d'être capable de se laisser atteindre par la vie des émotions en soi : et à l'intensité de ce Sang pour sang interprété en duo avec son fils David (qui assurait la partie batterie, juste avant, sur Allumer le feu, comme il l'a annoncé avec une immense fierté paternelle) répondent des moments tels que cette déclaration d'amour de Johnny à son public ("Vous faites partie de ma vie. Je ne vous oublierai jamais.") que vous avez peut-être vécue en suivant le live de TF1 samedi soir, comme 5,4 millions de téléspectateurs - ou que vous vivrez lors des dates à venir.
En attendant et pour la postérité, nous vous livrons de nouvelles illustrations de ces adieux qui vont durer mais ne dureront sans doute jamais assez. Des duos saisissants aux couleurs explosives du show en passant par les répétitions de jeudi dernier, devant un millier de happy few récompensés de leur fidélité, arrêtons-nous là, en plein coeur du Tour 66.
Cette fois-ci, c'était la der de der : hier soir, vers 23h30, le Taulier a jeté les clés du Stade de France. A l'issue de sa troisième date parisienne dans la colossale enceinte de Saint-Denis, Johnny Hallyday quittait pour la dernière fois l'impressionnante scène en même temps que le regard rougeoyant de l'aigle qui a surplombé ses trois performances phénomènales s'éteignait. C'était le dernier concert de Johnny ici...
Vendredi, le rockeur, contre toute attente, était... pétrifié par le trac ! Ce qui ne l'a évidemment pas empêché de livrer un show à couper le souffle, ému aux larmes devant une fosse en liesse, un stade vibrant comme un seul homme et une tribune présidentielle garnie de célébrités. La veille, Johnny Hallyday avait répété avec son fils David, Sylvie Vartan, et avec ses sensationnels musiciens (énorme Robin Le Mesurier aux guitares, époustouflant Greg Zlap à l'harmonica, irrésistible Amy Keys aux choeurs... et les Vine Street Horns aux cuivres, ébouriffants), devant 1000 personnes invitées par les collectivités locales, le lunettier Optic 2000. Ultimes répèt' en toute décontraction devant, également, une poignée de ses fans les plus chevronnés. Samedi, la famille Hallyday était au complet : Estelle Lefébure était présente avec ses filles Ilona et Emma. David Hallyday, Sylvie Vartan et Tony Scotti, Laura Smet et son amoureux (frère de Stéphane Delajoux, l'ex d'Isabelle Adjani). Spectaculaire ovation à l'entrée de Laeticia et des deux filles du couple, Joy dans les bras, les oreilles couvertes par des anti-bruits décorés de stickers faits par sa grande soeur Jade - dont s'est occupé, le samedi soir, un certain Jean Reno. Dimanche, le Taulier s'est complètement lâché : on pensait même que... ça ne finirait jamais. Dans une forme du tonnerre, Jojo a donné 2h50 de concert, rejoint comme la veille par son fils David sur Sang pour sang (après avoir expédié dans la foule ses baguettes de batteur sur Allumer le feu) puis Sylvie Vartan (Le bon temps du rock'n'roll) - un sacré flashback d'une trentaine d'années. Dans la tribune présidentielle, pour ce dernier passage parisien : Jean-Luc Delarue, Thomas Langmann, Paul Personne, Philippe Lavil, Muriel Robin et Anne, Cathy et David Guetta, Catherine Lara, Serge Lama, Emmanuel Chain, Florent Pagny, Vincent Perez et Karine Sylla, Kad Merad, Luc Besson et sa femme Virginie, Sébastien Folin, Henri Leconte, Jean Roch, Brice Hortefeux, Line Renaud, Michèle Alliot-Marie, Line Renaud (la marraine de Johnny), Michel Drucker, Jean Todt, Clémentine Célarié...
Certes, le spectacle concocté pour les stades de ce Tour 66 s'achève sur une reprise ô combien éloquente du Et maintenant auquel le timbre de Bécaud, vibrant et tonitruant lui aussi, reste attaché : une chanson poignante qui, dans le cas de Johnny, éclaire ses adieux, ses ultimes sorties d'une lumière ambigue. Mais sublime. Comment vouloir se retirer quand on a fait de la scène et du public... sa vie, à proprement parler ? Mais comment, cependant, continuer lorsque le corps impose sa lassitude, après soixante-six années dont cinquante à projeter sans réserve, inconditionnellement, tout ce qu'il recèle d'énergie...
L'adieu de Johnny, de toute évidence, n'est pas plus simple pour lui que pour tous ceux qui se sentent inexpugnablement jeunes lorsqu'ils sont face à leur idole, flamboyante dans ses oeuvres. Au Stade de France comme à chacune des étapes de ce Tour 66 qui emprunte une route sans retour, on aura tous été jeunes et nostalgiques, euphoriques et inquiets, transcendés et atterrés - par l'horizon de son dénouement. Par bonheur, pas de demi-mesure : que Johnny quitte la scène avec émotion, il ne risque pas pour autant de la quitter sans panache.
Le panache... "Le panache n'est pas la grandeur, mais quelque chose qui s'ajoute à la grandeur, et qui bouge au-dessus d'elle, observait Edmond Rostand dans son discours de réception à l'Académie française. C'est quelque chose de voltigeant, d'excessif et d'un peu frisé. (...) Plaisanter en face du danger, c'est la suprême politesse, un délicat refus de se prendre au tragique ; le panache est alors la pudeur de l'héroïsme, comme le sourire par lequel on s'excuse d'être sublime." Voilà une peinture du panache, et pardonnez le mélange des genres, qui sied au dernier tour de chant de Johnny.
Chaque élément de cette "route 66" qu'a pavée le rockeur et qu'il sillonne jusqu'à sa retraite constitue en soi un morceau de bravoure, de ses duos avec sa choriste-diva, avec son fils David Hallyday ou avec son ex-compagne et mère du précédent Sylvie Vartan (Le bon temps du rock'n'roll), jusqu'à cet incroyable medley très sixty-six, très Presley... Un tour de force, un numéro régalien. Notre King.
Indiscutablement, c'est une sortie éminemment rock'n'roll. Mais le panache, c'est aussi d'être capable de se laisser atteindre par la vie des émotions en soi : et à l'intensité de ce Sang pour sang interprété en duo avec son fils David (qui assurait la partie batterie, juste avant, sur Allumer le feu, comme il l'a annoncé avec une immense fierté paternelle) répondent des moments tels que cette déclaration d'amour de Johnny à son public ("Vous faites partie de ma vie. Je ne vous oublierai jamais.") que vous avez peut-être vécue en suivant le live de TF1 samedi soir, comme 5,4 millions de téléspectateurs - ou que vous vivrez lors des dates à venir.
En attendant et pour la postérité, nous vous livrons de nouvelles illustrations de ces adieux qui vont durer mais ne dureront sans doute jamais assez. Des duos saisissants aux couleurs explosives du show en passant par les répétitions de jeudi dernier, devant un millier de happy few récompensés de leur fidélité, arrêtons-nous là, en plein coeur du Tour 66.
caraibes1- Messages : 2171
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