BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
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BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
Dans son article sur DICK RIVERS, paru mercredi 2 novembre dans LIBERATION :
http://next.liberation.fr/culture/01012368911-dick-est-maousse
Dick est maousse
Par BAYON
Le 3e mousquetaire du rock français des 60’s fête ses cinquante ans de carrière avec «Mister D», album westernien sombre et carré.
Tiens, revoilà Biquet. «Biquet» : sobriquet, dans le milieu, du King 3 du rockabilly bonne franquette, avec Johnny et Eddy titi - qui ont toujours méprisé leur pair Dick Rivers comme Niçois, donc plouc à accent, tel Nougaro, et comme rital, tel Montand (Ivo Livi) ; Xavier Forneri étant le nom de baptême du sujet. Biquet, alias Dick Rivers donc (d’après le «Deke Reverse» joué par Elvis dans Loving You), revient.
Toujours revenu, quitte à ne pas revenir à certains, Dick a pour lui un larynx cintré digne de son aîné infirme mythique, le pionnier ricain Gene Vincent ; organe donnant à son rock d’oc une distinction tordue relevée de velours d’accent Croisette.
Identifié au hit Twist à Saint-Tropez, hymne certes imparable de ses Chats Sauvages, challengers niçois hérissés des Chaussettes Stemm du J3 Moine alias Mitchell au temps de l’Algérie et des Copains des Batignolles, puis matrice du groupe rétro Au Bonheur des Dames (1), Dick, 66 étés, chante ses «50 ans» de bons et loyaux services de Poulidor de l’échappée yéyé, dont Smet eût été l’Anquetil.
Soit Reverse, qui ouvre en abîme (comme retour et comme la scène primitive presleyienne) la douzaine du jubilé 2011 en coup d’œil cuivré en arrière. C’est ledit Oli Le Baron qui fait l’essentiel, dans cet enregistrement ambitieux. C’est-à-dire d’abord le son : composition, twanging guitars, loops, harmonica, mandoline et «bizarreries diverses», mais aussi le texte, bref tout.
Double Bang. Déjà à l’œuvre derrière Jad Wio, Sylvain-Sylvain (New York Dolls) ou Raphael, le plastique Oli Le Baron signe notamment un grondant Demain ou le vaudou Automatic, double bang de la reprise mettant spécialement en valeur le punch au charme série B un peu gênant (série 3D ?) du vieux spadassin sudiste qui en a encore sous la botte (mexicaine).
Johnny, autre fleuron hautement symbolique du bouquet, avec le honky tonk C’est pour ton bien ou la caustique Ballade de l’échographié, est d’Oli itou, sur la retombée du meilleur volume de Dick Rivers depuis 1962 ou à peu près. Blues rock crépusculaire servi au bottleneck, Johnny est un néo Hey Joe qui s’entend, en résonance, mi-hommage mi-glas : «Tu as trahi tous ceux qui sont restés…» - avec clac de couvercle (de sapin) au bout.
Jean Fauque, parolier de Bashung (Osez Joséphine), complète Le Baron Bleu aux textes (du boogaloo vampirique Bloody Movie ou de la romance country mitchellienne à la Alister Désormais). Avec un appoint Joseph d’Anvers, relève de Koolen ou Coutin, sur le boogie Demain ou le rag rock dobro la Fièvre. L’un dans l’autre, les lyrics de Mister D, sans être du Proust, sont assez chiadés ; après tout, les Rocks les plus terribles,le Hallyday absolu, classique rock français réédité à ce titre par Libération en 1983, n’étaient pas du Marie Möör non plus.
Inca Dick. Dur d’être Dieu, au menu de ce manifeste blanchi sous le harnois, rappelle d’ailleurs Manset. L’auteur de Je suis Dieu célébrait il y a peu en «Dieu inca» livresque posthume Bashung, qui lui offrit quatre crédits sur son CD testament Bleu pétrole ; or l’«Inca» c’est Dick, tel qu’en lui-même son effigie bronzée le change, chaînon manquant entre Manset gitan du Ranelagh et Bashung l’Alsacien kabyle. Qu’on en juge.
Bashung habilla, inconnu, Rivers à l’orée des années 70 (2) ; et Manset, déjà notable, servit idem le créateur de Maman n’aime pas ma musique, entre Herbert Léonard et Dalida, sur L’?. (3)
L’autre chaînon (de gourmette) manquant, avec Eddy («sois bon») et Johnny («reviens»), vieux frères sexagénaires 60’s, c’est Elvis, Roi Ra de la Trinité. Les trois vétérans l’ont chanté dévotieusement, entre Chuck Berry et Jerry Lee Lewis. Sur l’air rockab suscité Automatic, Xavier Rivers, le fils de boucher réputé radin aux inflexions Cash terminal (sur la complainte bonus Fodder on Her Wings, de Nina Simone), y revient, comme saluant le King créole.
Porté par une rythmique slappée resurgie en droite ligne fantôme du ballast de Mystery Train ou My Baby Left Me via The Reverend Horton Heat, relevé de miaulements de guitares rétro surf à la Noir Désir, l’éternel dédaigné, revendiqué par Cabrel son pair «ravioli», le chanteur rouleur à nez de belette remonte au front en finaud.
Avec ce volume au sommet, pic d’une discographie de 35 tomes dont la réédition suit, CD vermeil qui n’aurait pas déparé la vitrine Hallyday (au lieu de son album du revenant enterré), Biquet Rivers, dont des mémoires sortent en stéréo sous le même label Mister D(lire ci-contre), rappelle qu’il est le 3e mousquetaire rock, accent gascon ou pas.
1) Dont le leader pour rire se baptisait Eddyck Ritchell.
2) «Rivers’ Countryside», 1973, production Alain Bashung. Avec qui Dick Rivers coopéra aussi sur «Rock Machine», «Rocking Along», «Rock and Roll Star» et autre «Rock And Roll Revival» peu avouables.
3) «L’interrogation» («L’?»), production Manset, 1969.
http://next.liberation.fr/culture/01012368911-dick-est-maousse
Dick est maousse
Par BAYON
Le 3e mousquetaire du rock français des 60’s fête ses cinquante ans de carrière avec «Mister D», album westernien sombre et carré.
Tiens, revoilà Biquet. «Biquet» : sobriquet, dans le milieu, du King 3 du rockabilly bonne franquette, avec Johnny et Eddy titi - qui ont toujours méprisé leur pair Dick Rivers comme Niçois, donc plouc à accent, tel Nougaro, et comme rital, tel Montand (Ivo Livi) ; Xavier Forneri étant le nom de baptême du sujet. Biquet, alias Dick Rivers donc (d’après le «Deke Reverse» joué par Elvis dans Loving You), revient.
Toujours revenu, quitte à ne pas revenir à certains, Dick a pour lui un larynx cintré digne de son aîné infirme mythique, le pionnier ricain Gene Vincent ; organe donnant à son rock d’oc une distinction tordue relevée de velours d’accent Croisette.
Identifié au hit Twist à Saint-Tropez, hymne certes imparable de ses Chats Sauvages, challengers niçois hérissés des Chaussettes Stemm du J3 Moine alias Mitchell au temps de l’Algérie et des Copains des Batignolles, puis matrice du groupe rétro Au Bonheur des Dames (1), Dick, 66 étés, chante ses «50 ans» de bons et loyaux services de Poulidor de l’échappée yéyé, dont Smet eût été l’Anquetil.
Soit Reverse, qui ouvre en abîme (comme retour et comme la scène primitive presleyienne) la douzaine du jubilé 2011 en coup d’œil cuivré en arrière. C’est ledit Oli Le Baron qui fait l’essentiel, dans cet enregistrement ambitieux. C’est-à-dire d’abord le son : composition, twanging guitars, loops, harmonica, mandoline et «bizarreries diverses», mais aussi le texte, bref tout.
Double Bang. Déjà à l’œuvre derrière Jad Wio, Sylvain-Sylvain (New York Dolls) ou Raphael, le plastique Oli Le Baron signe notamment un grondant Demain ou le vaudou Automatic, double bang de la reprise mettant spécialement en valeur le punch au charme série B un peu gênant (série 3D ?) du vieux spadassin sudiste qui en a encore sous la botte (mexicaine).
Johnny, autre fleuron hautement symbolique du bouquet, avec le honky tonk C’est pour ton bien ou la caustique Ballade de l’échographié, est d’Oli itou, sur la retombée du meilleur volume de Dick Rivers depuis 1962 ou à peu près. Blues rock crépusculaire servi au bottleneck, Johnny est un néo Hey Joe qui s’entend, en résonance, mi-hommage mi-glas : «Tu as trahi tous ceux qui sont restés…» - avec clac de couvercle (de sapin) au bout.
Jean Fauque, parolier de Bashung (Osez Joséphine), complète Le Baron Bleu aux textes (du boogaloo vampirique Bloody Movie ou de la romance country mitchellienne à la Alister Désormais). Avec un appoint Joseph d’Anvers, relève de Koolen ou Coutin, sur le boogie Demain ou le rag rock dobro la Fièvre. L’un dans l’autre, les lyrics de Mister D, sans être du Proust, sont assez chiadés ; après tout, les Rocks les plus terribles,le Hallyday absolu, classique rock français réédité à ce titre par Libération en 1983, n’étaient pas du Marie Möör non plus.
Inca Dick. Dur d’être Dieu, au menu de ce manifeste blanchi sous le harnois, rappelle d’ailleurs Manset. L’auteur de Je suis Dieu célébrait il y a peu en «Dieu inca» livresque posthume Bashung, qui lui offrit quatre crédits sur son CD testament Bleu pétrole ; or l’«Inca» c’est Dick, tel qu’en lui-même son effigie bronzée le change, chaînon manquant entre Manset gitan du Ranelagh et Bashung l’Alsacien kabyle. Qu’on en juge.
Bashung habilla, inconnu, Rivers à l’orée des années 70 (2) ; et Manset, déjà notable, servit idem le créateur de Maman n’aime pas ma musique, entre Herbert Léonard et Dalida, sur L’?. (3)
L’autre chaînon (de gourmette) manquant, avec Eddy («sois bon») et Johnny («reviens»), vieux frères sexagénaires 60’s, c’est Elvis, Roi Ra de la Trinité. Les trois vétérans l’ont chanté dévotieusement, entre Chuck Berry et Jerry Lee Lewis. Sur l’air rockab suscité Automatic, Xavier Rivers, le fils de boucher réputé radin aux inflexions Cash terminal (sur la complainte bonus Fodder on Her Wings, de Nina Simone), y revient, comme saluant le King créole.
Porté par une rythmique slappée resurgie en droite ligne fantôme du ballast de Mystery Train ou My Baby Left Me via The Reverend Horton Heat, relevé de miaulements de guitares rétro surf à la Noir Désir, l’éternel dédaigné, revendiqué par Cabrel son pair «ravioli», le chanteur rouleur à nez de belette remonte au front en finaud.
Avec ce volume au sommet, pic d’une discographie de 35 tomes dont la réédition suit, CD vermeil qui n’aurait pas déparé la vitrine Hallyday (au lieu de son album du revenant enterré), Biquet Rivers, dont des mémoires sortent en stéréo sous le même label Mister D(lire ci-contre), rappelle qu’il est le 3e mousquetaire rock, accent gascon ou pas.
1) Dont le leader pour rire se baptisait Eddyck Ritchell.
2) «Rivers’ Countryside», 1973, production Alain Bashung. Avec qui Dick Rivers coopéra aussi sur «Rock Machine», «Rocking Along», «Rock and Roll Star» et autre «Rock And Roll Revival» peu avouables.
3) «L’interrogation» («L’?»), production Manset, 1969.
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
oui enfin c'est surtout un article sur l'album de D. Rivers...
tu veux à tout prix qu'on l'apprécie ?
verdict dans une semaine pour voir si les ventes auront dépassé celles du précédent album, c'est-à-dire 5000 ex en fin de parcours... et si enfin D. Rivers pourra continuer à porter sa couronne du plus grand chanteur de rock'n'roll après lui-même...
hier dans Libé à côté de cette article, il y a un petit extrait de sa bio... quelle tristesse ce bonhomme, il doit quand même lui manquer une case...ça devient pathologique...
tu veux à tout prix qu'on l'apprécie ?
verdict dans une semaine pour voir si les ventes auront dépassé celles du précédent album, c'est-à-dire 5000 ex en fin de parcours... et si enfin D. Rivers pourra continuer à porter sa couronne du plus grand chanteur de rock'n'roll après lui-même...
hier dans Libé à côté de cette article, il y a un petit extrait de sa bio... quelle tristesse ce bonhomme, il doit quand même lui manquer une case...ça devient pathologique...
salentina- Messages : 3134
Date d'inscription : 03/03/2008
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
salentina a écrit:oui enfin c'est surtout un article sur l'album de D. Rivers...
tu veux à tout prix qu'on l'apprécie ?
verdict dans une semaine pour voir si les ventes auront dépassé celles du précédent album, c'est-à-dire 5000 ex en fin de parcours... et si enfin D. Rivers pourra continuer à porter sa couronne du plus grand chanteur de rock'n'roll après lui-même...
hier dans Libé à côté de cet article, il y avait un petit extrait de sa bio... quelle tristesse ce bonhomme, il doit quand même lui manquer une case...ça devient pathologique...
texte corrigé...
salentina- Messages : 3134
Date d'inscription : 03/03/2008
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
Bien que Dick me revulse habituellement, essais de preter une petite oreille, Salentina, a son dernier opus... belle surprise ! moi je signerais de suite pour que le successeur de Jamais seul soit signe et realise par oli le Baron !!
Invité- Invité
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
j'ai écouté l'album, la production est pas mal du tout, c'est assez sympa, il est juste dommage qu'au bout il n'y a pas de chanteur, mais juste quelqu'un qui minaude, qui "maniérise" chaque syllabe... c'est assez comique quelque part...
a-t-il pris des cours chez Sylvie Vartan ?
...et puis il est grand temps que la presse arrête de mettre dans le même sac Johnny, Eddy et Dick...
et commencer à comparer ce qui est comparable! Il y a Johnny et les autres qu'on le veuille ou l'admette ou non
la carrière de 50 ans de Rivers est juste une fanfaronnade... et aussi le côté je suis resté fidèle à ma musique...s'il n'avait pas les moyens financiers de faire ses disques lui-même, et entretenir quelques amitiés dans le milieu de la presse... il y a longtemps qu'il serait aux oubliettes... ce n'est pas le public qui l'a plébiscité durant tout ce temps...
a-t-il pris des cours chez Sylvie Vartan ?
...et puis il est grand temps que la presse arrête de mettre dans le même sac Johnny, Eddy et Dick...
et commencer à comparer ce qui est comparable! Il y a Johnny et les autres qu'on le veuille ou l'admette ou non
la carrière de 50 ans de Rivers est juste une fanfaronnade... et aussi le côté je suis resté fidèle à ma musique...s'il n'avait pas les moyens financiers de faire ses disques lui-même, et entretenir quelques amitiés dans le milieu de la presse... il y a longtemps qu'il serait aux oubliettes... ce n'est pas le public qui l'a plébiscité durant tout ce temps...
salentina- Messages : 3134
Date d'inscription : 03/03/2008
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
MISTER D est une "tuerie".
Magnifique album aux accents vintage salué par toute la presse écrite et la plupart des radios.
REVERSE - AUTOMATIC - DESORMAIS - BLOODY MOVIE - JOHNNY - DEMAIN etc ...
Autant de pépites servies sur un très bel écrin ( pochette somptueuse ) où toutes les racines (rock/ blues/crooner/country) sont là !
Les textes sont empreints de nostalgie et de références à des chanteurs de légende ( SINATRA / CHUCK BERRY / JOHNNY CASH ) ou à des films Hollywoodien ( LE CIEL PEUT ATTENDRE / RIO BRAVO / POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS ...).
Voila un album qui respire un vrai son Américain de bout en bout et qui livre de petits scénars à chaques chansons et ce, sans prétentions aucune, simplement de petits clips qui ne demanderaient qu'à être filmés.
RIVERS dont la voix est de plus en plus belle y fait montre de beaucoup d'auto-dérision même si je ne partage pas ( loin s'en faut ) la teneur de toutes ses déclarations.
MITCHELL aurait pû écrire et chanter la plupart de ces titres, c'est dire si j'aime !
Malheureusement la télé ne suit pas et sans la télé aujourd'hui ...
Magnifique album aux accents vintage salué par toute la presse écrite et la plupart des radios.
REVERSE - AUTOMATIC - DESORMAIS - BLOODY MOVIE - JOHNNY - DEMAIN etc ...
Autant de pépites servies sur un très bel écrin ( pochette somptueuse ) où toutes les racines (rock/ blues/crooner/country) sont là !
Les textes sont empreints de nostalgie et de références à des chanteurs de légende ( SINATRA / CHUCK BERRY / JOHNNY CASH ) ou à des films Hollywoodien ( LE CIEL PEUT ATTENDRE / RIO BRAVO / POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS ...).
Voila un album qui respire un vrai son Américain de bout en bout et qui livre de petits scénars à chaques chansons et ce, sans prétentions aucune, simplement de petits clips qui ne demanderaient qu'à être filmés.
RIVERS dont la voix est de plus en plus belle y fait montre de beaucoup d'auto-dérision même si je ne partage pas ( loin s'en faut ) la teneur de toutes ses déclarations.
MITCHELL aurait pû écrire et chanter la plupart de ces titres, c'est dire si j'aime !
Malheureusement la télé ne suit pas et sans la télé aujourd'hui ...
CHRISSYROCK- Messages : 2046
Date d'inscription : 07/03/2008
Age : 60
Localisation : CERGY VAL D'OISE
3 rockers
bonjour , j aime johnny j ai tous ces disques et depuis les années 60 je vais voir ces concerts mais en meme temps j essaie d etre objectif , les deux autres font aussi de belles choses : mister d et come back valent largement jamais seul ; qui aime bien chatie bien ;! bon vent
OLD ROCKER- Messages : 134
Date d'inscription : 08/12/2010
Age : 77
Localisation : OUEST
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
un disque qui aurait pu être bon, voire très bon, s'il y avait un chanteur à la barre, ce n'est hélas pas le cas
et aucun tube dedans...
et aucun tube dedans...
salentina- Messages : 3134
Date d'inscription : 03/03/2008
le chanteur
Je trouve dick bon j aime sa voix ; quant à l absence de tube je m en fiche d ailleurs combien de soi disants tubes sont nuls mais cependant matraqués partout ; dans jamais seul pas de tubes non plus et pourtant 3 ou 4 titres sont excellents
OLD ROCKER- Messages : 134
Date d'inscription : 08/12/2010
Age : 77
Localisation : OUEST
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
Si l'omerta des médias voulait bien s'estomper quelque peu, il y aurait matière dans ce magnifique album à pléthore de tubes : REVERSE /DEMAIN/DESORMAIS/C'EST POUR TON BIEN ...
La voix de Dick sublime ces titres qui donnent une belle homogénéité à l'ensemble de l'album dont la réussite artistique n'est pas sans rappeler "PLEIN SOLEIL " en 1995.
La voix de Dick sublime ces titres qui donnent une belle homogénéité à l'ensemble de l'album dont la réussite artistique n'est pas sans rappeler "PLEIN SOLEIL " en 1995.
CHRISSYROCK- Messages : 2046
Date d'inscription : 07/03/2008
Age : 60
Localisation : CERGY VAL D'OISE
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
salentina a écrit:un disque qui aurait pu être bon, voire très bon, s'il y avait un chanteur à la barre, ce n'est hélas pas le cas
et aucun tube dedans...
quel manque d'objectivite incroyable... quand t'as quelqu'un dans le pif toi, tu l'as pas ailleurs...
Invité- Invité
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
OLD ROCKER a écrit:Je trouve dick bon j aime sa voix ; quant à l absence de tube je m en fiche d ailleurs combien de soi disants tubes sont nuls mais cependant matraqués partout ; dans jamais seul pas de tubes non plus et pourtant 3 ou 4 titres sont excellents
quand je dis qu'il n'y a pas de tube, ce n'est pas péjoratif, juste pour dire qu'il n'y a pas une chanson qui sort du lot, elles sont toutes, à mes oreilles, du même niveau, l'ensemble est assez homogène
quant sa voix et son interprétation, une question de goût... la sienne va du hoquettement à la Gene Vincent, mais n'est Gene Vincent qui veut, aux minauderies style Sylvie Vartan.... le tout donne un style maniéré plutôt obsolète
sans doute par manque de puissance vocale
si lui se trouve bien et qu'il ait encore quelques afficionados qui en sont convaincus... c'est l'essentiel
salentina- Messages : 3134
Date d'inscription : 03/03/2008
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
En effet, c'est bien l'essentiel !
D'ailleurs, les critiques de la musique ne s'y sont pas trompés en vantant unanimement les grands mérites de cet album exceptionnel et l'immense talent de son interprête..
D'ailleurs, les critiques de la musique ne s'y sont pas trompés en vantant unanimement les grands mérites de cet album exceptionnel et l'immense talent de son interprête..
CHRISSYROCK- Messages : 2046
Date d'inscription : 07/03/2008
Age : 60
Localisation : CERGY VAL D'OISE
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
C'est vrai ! C'est un album de tres haute qualite, de la realisation aux compositions!! il y a un son d'enfer, de superbes rocks et de superbes ballades...melodiques !
Je vais lacher un pavé, mais cet album est plus reussi que "jamais seul"...(et pourtant , je n'ai dis que du bien de jamais seul...) ou "comeback" puisqu'on enr evient toujours a ces trois la quand on parle de "rock" francais...
Je vais lacher un pavé, mais cet album est plus reussi que "jamais seul"...(et pourtant , je n'ai dis que du bien de jamais seul...) ou "comeback" puisqu'on enr evient toujours a ces trois la quand on parle de "rock" francais...
Invité- Invité
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
Tout à fait.
Les mélodies sont très accrocheuses et elles trottent longtemps dans la tête après écoute.
Les mélodies sont très accrocheuses et elles trottent longtemps dans la tête après écoute.
CHRISSYROCK- Messages : 2046
Date d'inscription : 07/03/2008
Age : 60
Localisation : CERGY VAL D'OISE
Re: BAYON évoque "LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES" et "JAMAIS SEUL"
Mis en à l'instant sur la page officielle Facebook de Dick
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=2600617092274&set=o.249601091732313&type=1&theater
ce pitit texte :
Hello, ce message pour dire et espérer que DICK, au Casino de Paris le 21 novembre 2011 et à l'Olympia le 31 mars 2012, jouera le plus de titres possible de son nouveau Compact Disc (voire même tous les titres). Tout comme il l'avait fait à l'ALHAMBRA en décembre 2008 où il avait joué la quasi-totalité des chansons de l'excellent album "L'HOMME SANS ÂGE".
D'ailleurs, tout autant que "MISTER D" (2011) et "PLEIN SOLEIL" (1995), ce disque made by JOSEPH D'ANVERS avait la rock'n'roll attitude, même si et parce que justement il n'y avait pas le côté Lucky Luke Spirit (*) avec les jeux de mots plus ou moins réussis des textes souvent poussifs, un peu machos ambiance “Grosses Têtes” de RTL, de SERGE KOOLENN.
Le nouveau CD de DICK est un must, un Top artistique dans sa carrière, il faut clairement mettre cette dizaine de chansons en avant, dans les concerts, quitte à ce que ça fasse ronchonner ceux qui attendent avant tout "TWIST A ST TROPEZ", le très mauvais et ultra gnangan "C'EST PAS SÉRIEUX", ou encore le pas du tout représentatif du Rivers Spirit "NICE BAIE DES ANGES" (et d'autres titres un peu clichés comme “Y EN A MARRE DE CE WESTERN”).
La version cajun speedos 2003 de "FAIRE UN PONT" est électrisante, beaucoup plus que la version officielle originale 1974 trop country FM ennuyante.
Enfin, voilà, avec ce disque, DICK a toutes les cartes (les chansons) en main pour faire un concert super rock'n'roll new style 2011, en mettant en avant un max' de chansons de "MISTER D". Voilà, présent je serai le 21/11/11 (Casino) et le 31/03/2012 (Olympia).
F. G.
(*) : cette espèce de vision « je dors dans un jukebox avec mes santiags » faussée du DICK — justement, ces concerts à venir et ce nouvel album, c'est pour DICK l'occasion de démontrer, comme il le souhaite depuis des lustres, que le RIVERS, ce n'est pas ça, ce n'est pas un Michael Jackson version rocky du 18e (arrondissement) mais bien un rocker créatif, malin, vivant, avec des nouvelles chansons solides, mieux que pas mal d'anciennes 70s, 80s ou 90s.
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