Chédigny - Jour 1 - Partie 1
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Chédigny - Jour 1 - Partie 1
Montana Mer 18 Juin - 0:04
Hello Tom-Tom ! Merci de bien vouloir me guider jusqu’à Chédigny centre ville, je n’ai pas l’adresse exacte mais bon, on ne va pas à Dallas non plus hein ? Oui, dans deux semaines, je sais. Brave Tom-tom, allez, j’ai empli le coffre de la bagnole avec mon matériel de SDF flambant neuf, des menus bagages, ma guitare et mon petit matos de câblages et micros, on peut donc y aller. Vroum, c’est parti … et donc quelques 250 kilomètres plus tard et un arrêt casse-croute :
Tom-tom : « Vous êtes arrivés »
Impossible de faire mieux dans le guidage GPS, le terminus tombe pilepoil devant l’entrée du lieu de l’événement tant attendu. Non, impossible de m’être gouré d’adresse sinon que viendrait fiche ici le fameux partisan du Berry indépendant, j’ai nommé notre ami à tous, JPP, accompagné dans une discussion sûrement philosophique (je n’en doute pas une seconde) de quelques uns de nos valeureux guerriers que j’affuble au passage d’un retentissant « Salut les tarlouzes » afin de signaler ma présence. Les embrassades fusent comme une retrouvaille de vieux frangins après des années d’absence … et, soyons gaulois jusqu’au bout, d’abstinence itou.
Et puis de nouveaux visages, certains connus par le biais de photos internautiques et d’autres totalement méconnus, mais chaque fois un accueil sans pareil, des accolades, des bises, des poignées de mains et le tout dans un esprit de franche amitié comme déjà consommée depuis une éternité mais toujours inépuisée. Et puis, comment passer outre l’accueil chaleureux de notre JiPé pourtant accaparé en tous sens entre les nouveaux arrivants et l’organisation qui bat déjà son plein dans une atmosphère tout autant bon enfant, et tout ça avec le sourire.
« Alors, machin, comment vas-tu depuis le dernier concert ? », « Très bien Truc, et toi depuis la dernière fois ? », « Oh ma p’tite beauté, enfin je découvre ton charmant visage et ta petite famille dont tu m’as tant parlé », les dialogues s’installent, les anecdotes suivent et aucune ne se ressemblent. Zorba reste imperturbable dans sa tâche du pointage des inscrits. Allez, c’est parti, tous les organisateurs semblent présents sauf un. Où est Phil ? Nous apprenons illico qu’il a conté fleurette (comme un lapin, ça plante le topo) aux Bleus de la route, non pas nos footballeurs qui venaient de se ramasser une monumentale raclée batave, mais, pour rester dans le ton, « les blue swed maréchaussée » car c’est bien connu, la gendarmerie « elle visse » dans ce cas-là. Ok, je vais sortir, mais laissez-moi terminer, hey Joe, cours pas comme ça, y a pas l’feu chez toi !
Le terrain de camping improvisé, situé entre l’aire des sports et le cimetière de la commune, semble confortable pour planter les tentes qui commencent à fleurir. « Midi sonne, on danse le madison », enfin pas tout à fait, pas encore du moins puisque c’est l’heure de l’apéro et l’ouverture officielle du Festival orchestrée par Fan01, Rouk1 et bien sûr notre JiPé. Les « hostilités » sont lancées autour des tables entre le premier repas, les claquements de gobelets où l’on trinque à qui mieux-mieux à Johnny, soit, mais à l’amitié d’abord, et les premiers quizz sous la houlette de Pascal. Je n’en reviens pas, moi, un fan de la dernière heure suis arrivé à répondre à une question de quizz sur Johnny laissant pantelantes les bouches de fans pourtant coulés dans le béton qui cherchaient encore la réponse. Oh mais c’est que ça n’est pas rien ! On commence par des cartes postales de Johnny et va savoir, on terminera peut-être un jour à « qui veut gagner des millions », mais voui ma p’tite dame !
Bon, allez, bon appétit. Au fait, il faut combien de temps encore pour ne plus être « fan de la dernière heure » ? Tout de suite la suite.
Tom-tom : « Vous êtes arrivés »
Impossible de faire mieux dans le guidage GPS, le terminus tombe pilepoil devant l’entrée du lieu de l’événement tant attendu. Non, impossible de m’être gouré d’adresse sinon que viendrait fiche ici le fameux partisan du Berry indépendant, j’ai nommé notre ami à tous, JPP, accompagné dans une discussion sûrement philosophique (je n’en doute pas une seconde) de quelques uns de nos valeureux guerriers que j’affuble au passage d’un retentissant « Salut les tarlouzes » afin de signaler ma présence. Les embrassades fusent comme une retrouvaille de vieux frangins après des années d’absence … et, soyons gaulois jusqu’au bout, d’abstinence itou.
Et puis de nouveaux visages, certains connus par le biais de photos internautiques et d’autres totalement méconnus, mais chaque fois un accueil sans pareil, des accolades, des bises, des poignées de mains et le tout dans un esprit de franche amitié comme déjà consommée depuis une éternité mais toujours inépuisée. Et puis, comment passer outre l’accueil chaleureux de notre JiPé pourtant accaparé en tous sens entre les nouveaux arrivants et l’organisation qui bat déjà son plein dans une atmosphère tout autant bon enfant, et tout ça avec le sourire.
« Alors, machin, comment vas-tu depuis le dernier concert ? », « Très bien Truc, et toi depuis la dernière fois ? », « Oh ma p’tite beauté, enfin je découvre ton charmant visage et ta petite famille dont tu m’as tant parlé », les dialogues s’installent, les anecdotes suivent et aucune ne se ressemblent. Zorba reste imperturbable dans sa tâche du pointage des inscrits. Allez, c’est parti, tous les organisateurs semblent présents sauf un. Où est Phil ? Nous apprenons illico qu’il a conté fleurette (comme un lapin, ça plante le topo) aux Bleus de la route, non pas nos footballeurs qui venaient de se ramasser une monumentale raclée batave, mais, pour rester dans le ton, « les blue swed maréchaussée » car c’est bien connu, la gendarmerie « elle visse » dans ce cas-là. Ok, je vais sortir, mais laissez-moi terminer, hey Joe, cours pas comme ça, y a pas l’feu chez toi !
Le terrain de camping improvisé, situé entre l’aire des sports et le cimetière de la commune, semble confortable pour planter les tentes qui commencent à fleurir. « Midi sonne, on danse le madison », enfin pas tout à fait, pas encore du moins puisque c’est l’heure de l’apéro et l’ouverture officielle du Festival orchestrée par Fan01, Rouk1 et bien sûr notre JiPé. Les « hostilités » sont lancées autour des tables entre le premier repas, les claquements de gobelets où l’on trinque à qui mieux-mieux à Johnny, soit, mais à l’amitié d’abord, et les premiers quizz sous la houlette de Pascal. Je n’en reviens pas, moi, un fan de la dernière heure suis arrivé à répondre à une question de quizz sur Johnny laissant pantelantes les bouches de fans pourtant coulés dans le béton qui cherchaient encore la réponse. Oh mais c’est que ça n’est pas rien ! On commence par des cartes postales de Johnny et va savoir, on terminera peut-être un jour à « qui veut gagner des millions », mais voui ma p’tite dame !
Bon, allez, bon appétit. Au fait, il faut combien de temps encore pour ne plus être « fan de la dernière heure » ? Tout de suite la suite.
Montana- Messages : 622
Date d'inscription : 04/02/2008
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Localisation : Bords de Seine
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