Johnny Hallyday Le Web
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LE DEBRIEFING N°37: Rêve et amour

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Message  oscar2 Mer 19 Sep 2012 - 0:14

En avant propos je voudrais m'excuser auprès des interessés pour le leger retard pris dans les débriefs mais sans rentrer dans les détails depuis quelques semaines je refais pas mal d'aller-retour à l'hosto, ça va s'arranger no panik.


Depuis toujours cet album m'a interpellé pour diverses raisons, tout d'abord parce qu'il est un peu inclassable , ensuite parce que je l'aime différement selon mes humeurs, il peut à la fois s'averer être magnifique et a d'autres moments il me laisse indifférent sans que je ne sache trop pourquoi !?
Si je devais en définir le style je dirais que c'est de la pop anglaise médievale et c'est déjà tout un programme en soi, cette impression est certainement accentuée par sa pochette hallucinante, le type même de pochette qu'il faut vraiment posséder en 33T pour en apprécier tous les détails, une chose est sûre par contre cet album au moment de sa parution était certainement le plus « à la mode » ou le plus « tendance » comme on dit aujourd hui de toute la discographie de Johnny, certaines chansons me font vraiment pensé à ce que faisait David Bowie période 67-68 ou à l'album Their satanic majesties request des Stones sorti à la même époque,une autre chose que je ressens c'est que cet album aussi « branché » soit-il en 68 à très bien vieilli, en tout cas bien mieux que les albums Berger-Goldman estampillés années 80, au lieu de se démoder celui-ci est devenu intemporel, quoi qu'il en soit je trouve que c'est un album où il se passe toujours quelque chose d'inattendu,



Paradoxalement le mixage de la voix de Johnny est peut etre l'un des moins bon de sa disco, je trouve qu'elle sature très vite, mais ce n'est peut etre que mon impression,

Le remasters est tout simplement monstrueux de relief et de clarté, un pur miracle,

Le livret nous offre une belle collection de photos rarement vue,


Alors 44 ans plus tard,,,
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Message  oscar2 Mer 19 Sep 2012 - 0:20

ENTRE MES MAINS : Un réel coup de maître pour ouvrir l'album , Entre mes mains est d'emblée un titre intemporel, un tour de force où concentrés en 3 minutes se bousculent beaucoups de sentiments, à la fois nostagique et moderne, philosophique et très compréhensible, c'est aussi un des premiers titres qui permet à l'interprete Hallyday de forcer sur la veine dramatique qui fera sa légende, et puis il y a cette interpretation unique, cette voix que l'on ne lui connaissait pas et qui semble sortir de nulle part, ce fut un réel choc pour moi quand j'ai découvert cette version alors que je ne connaissais que celle du Pavillon de Paris 79 , bref un pure chef-d'oeuvre inusable... 10/10

COURS PLUS VITE CHARLIE !:C'est le titre le plus « normal » de cet album et en même temps c'est celui qui est le moins à sa place, Johnny n'est plus à un paradoxe près !, un country rock paysan qui à la base ne paie pas de mine mais qui a depuis bien longtemps prouvé son éfficacité en live, la version originale souffre selon moi d'un son caverneux assez désagréable... 7/10

NON NE ME DIS PAS ADIEU : Une valse-pop dans un écrin de dentelle avec juste ce qu'il faut de montée dramatique , l'alchimie est parfaite, on est sur un fil ténu entre le kitch total et l'indéfinissable réussite, j'adhère... 7/10

EN REVE : Le budget « fumette » devais être assez conséquent lors de ces sessions non !, on nage en plein délire créatif, on ose tout on tente tout, le temps donnera raison ou tort à l'entreprise , moi quand je réécoute ceci aujourd hui je me dis qu'ils ont eu vraiment raison de le faire, c'est grâce à ce genre de chanson que l'album est unique... 7/10

ATTENTION : Un titre que j'adore , je ne sais pas trop comment l'expliquer mais dès l'intro les arrangements me donnent une sensation de vitesse incontrolable, c'est le parfait mariage entre de rythme & blues style année 67 et de cette pop de 68 , le tout emmené par une basse énorme, je trouve qu' ils ont vraiment créé un style unique sur cette chanson... 8,5/10

JE PARS DEMAIN : La voilà cette pop-médiévale dont je faisais allusion dans mon exposé de départ, Clavecin, Flûte, Hautbois, Xylophone et des hordes de violons, ça part dans tous les sens !, c'est un décalage sonore que j'aime vraiment beaucoup et en plus la chanson s'y prete a merveille même si elle est un peu plus faible... 6/10

FUMEE : Quelle mélodie somptueuse, quelle trouvaille que ces violons qui donnent quasiment l'impression de nous tourner la tête, la voix de Johnny qui se perd dans les volutes en fin de refrain , on ne sait plus créer de tel climat aujourd hui ou peut-être que l'on ose plus !, Un must... 10/10

JE SUIS L'AMOUR : Un groove plus funk à la Gainsbourg de ces années là et toujours la même éfficacité à l'arrivée bien que cette composition me plaise moins... 6/10

J'AI PEUR, JE T'AIME : D'emblée ce titre me fait pensé à « La petite fille de l'hiver » de par son climat et la délicatesse du chant de Johnny, mais je dois bien avouer que je ne suis pas vraiment touché par ce titre qui me laisse un goût de trop peu... 6/10

SANS UNE LARME : Celle-çi me bouleverse depuis le jour où je l'ai entendue pour la première fois, je trouve que la mélodie illustre magistralement de manière désespérée le texte, cette course au bonheur illusoire et vouée a l'échec ,c'est l' une des chansons qui ont fait que je sois devenu un jour accro à Johnny... 10/10

DANS MA VIE : Encore une magnifique chanson sur une construction plus classique cette fois-çi, ici aussi on peut déceler le futur Johnny de Requiem etc... 7/10

QUAND ON SIFFLAIT : Ils ne devaient pas se contenter de fumer en studio je pense qu'ils en cultivait aussi bounce bounce , Du délire total, un texte carrément abscon et j'imagine que c'était voulu comme ça, totalement inconscient et brillant en même temps, jubilatoire si l'on sait faire preuve de recul... 8/10





Bonus :


RAGAZZO : une adaptation italienne assez pauvre de Jeune homme, là ça coince... 4/10

QUESTE MIE MANI : Saccage total que cette version que l'on croirait enregistrée à la va vite entre 2 portes ou 2 rendez-vous , il ne reste rien de la superbe prod d'origine, ici la bande sonore est compressée au possible sur 1 piste et la voix de Johnny dont on pourrait presque croire qu'il l'a chante dans une cabine téléphonique sur l'autre, je met la moyenne pour la chanson mais cette version est une honte... 5/10

HAWAÏ : Exactement la même remarque que pour la précédente avec un résultat encore pire.. oui c'est possible... 2/10

SMOKE COVER MY EYES : Seul titre rescapé (et certainement enregistré) pour le projet avorté de refaire cet album en anglais, dommage... 8/10


Live PdS 69  (extraits de le réédition 2003):


FUMEE :Cet album live est certainement celui qui est le plus martyrisé par les affres du temps, c'est quand même hallucinant que universal ne soit pas foutu de sortir un live convenable de ce qui est et restera à coup sûr le show le plus fou et déjanté de Johnny, quel gâchi et cette version de tronquée de Fumée ne fait pas exception , il ne nous reste que ces quelques bribes de version pour nous consoler, elles ont tout de même le mérite d'exister... 8/10

MAL : Ce titre est l'un des actes de bravoure les plus déjantés de toute l'histoire de Johnny en live, il nous en reste a peine 3 min , c'est mieux que rien... 9/10

JE N'AI PAS VOULU CROIRE : Un version live topissime, un titre trop vite délaissé sur scene qui aurait pu (dù!) devenir un classique... 10/10

CACHE DERRIERE MES POINGS : L'inédit du show, resté inédit tout court jusqu'en 93, c'est une chanson énorme qui souffre ici d'un traitement scenique assez rébarbatif en audio, bien que je sois persuadé que universal en possède une version studio dans ses coffres qu'ils nous sortiront un jour en jurant qu'ils viennent de la retrouver par hasard, une chanson que j'ai appris a apprécier avec le temps... 7/10



MOYENNE DE L'ALBUM ORIGINAL : 7,7
MOYENNE DE L'EDITION COLLECTION : 7,1


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Message  Jango Mer 19 Sep 2012 - 11:51

Très heureux de te voir de retour Oscar, et les débriefs avec! J’espère sincèrement que tout s’arrangera avec tes soucis de santé.

À part ça c’est un peu ici que les Romains s’empoignèrent car j’ai peur qu’on ai pas le même ressenti du tout sur cet album, hormis les incontournables! Bien sûr on a pas la même histoire avec et ça peut expliquer des choses. Mais la principale remarque que je ferais c’est que je ne suis pas d’accord sur le fait que le «son» de cet album n’aurait pas vieilli. Si c’est bien le cas des albums Berger-Goldman, ce l’est aussi de celui-ci et pour moi l’écoute en pâti beaucoup aujourd’hui, alors qu’un Jeune Homme la même année a pris un cachet bien plus charmant. Je vais essayer de pointer du doigt les morceaux où c’est le plus flagrant pour moi.

Après les expérimentations soul de 67 et l’explosion rock de Rivière... Ouvre Ton Lit en 70, le Johnny de l’année 69 n’est pas tant érotique que psychédélique, sous psychotropes, sous influence, un peu perdu sous certains abords, mais pas moins extrêmement créatif. Le volume «Jeune Homme» (68 également) était super solide, qu’en sera-t-il de «Rêve Et Amour»?

ENTRE MES MAINS: D’emblée un incontestable! Celle-là a été élue sans appel chansons préférées des membres du forum grâce au jeu du survivant! Loin de moi l’idée d’en dire du mal du coup! Wink Mais quand même j’oserais dire ceci: des trois officiellement disponibles (Pavillon de Paris 79, Parc 93 qui recueilleraient facilement un 10) c’est la moins bonne! 9/10

COURS PLUS VITE CHARLIE: Un titre super appréciable en live depuis se résurrection en 95, mais sur l’original la production est vraiment trop décalée pour séduire. S’il fallait un rock «old school» sur l’album, il méritait d’être traité avec les honneurs dus à un titre d’Eddie Cochran. 7/10

NON NE ME DIS PAS ADIEU: Le premier couplet est dur à supporter, une fois atteint le refrain c’est honnête, dans le ton de l’époque. 6/10

EN RÊVE: Proche voisin des formidables «Mauvais Rêve» ou «Voyage Au Pays Des Vivants», mais pour moi inabouti et le cul entre deux chaises, n’est pas Sergent Pepper qui veut 5/10

ATTENTION: Une version carrément rock aurait pu être marquante. l’arrangement corde est trop doux, ça a même un côté un peu disco, non? Et comme on le sait j’ai une indigestion de disco! 6/10

JE PARS DEMAIN: Très banal finalement. Difficile de reconnaître la patte du tandem Brown/Jones! 6/10

FUMÉE: Ah, enfin du sérieux! Ici les partis pris dans la réalisation et les arrangements prennent tout leur sens. Fumée est peut-être un rien naïf dans son texte, mais n’en demeure pas moins un fascinant voyage psychédélique et malade hanté par la voix brisée de Johnny. Un classique injustement oublié 9,5/10

JE SUIS L’AMOUR: Gros rappel du Johnny des origines, d’avant le service militaire, mais avec des arrangements plus ouverts et ambitieux. Joli. 6,5/10

J’AI PEUR JE T’AIME: Plus ambitieux, un des premiers titres (avec Entre Mes Mains bien sûr) de la veine «opératique» que Johnny maîtrise également si bien. 8/10

SANS UNE LARME: Dans la lignée du précédent titre. Je suis content de lire l'impact que ce titre a eu sur Oscar car ça prouve que chaque chanson peut avoir sa place, son rôle auprès des fans, mais à mon goût il manque un frisson, ça sent un peu le pilote automatique 7/10

DANS MA VIE: J’accroche pas du tout. Censément un tube à l’époque, je lui préfère de loin la fougue d’un Jeune Homme 5/10

QUAND ON SIFFLAIT: On touche le fond à la fin de l’album, dommage! Texte ridicule, musique qui fait penser à une comptine. Je dois manquer de recul, mais ce sera sans moi Wink 4/10

RAGAZZO / QUESTE MIE MANIE / HAWAÏ: Comme d’hab pas de cote pour les adaptations italiennes. Je trouve les mixage très mal faits et particulièrement sur Ragazzo, on sent l’enregistrement à la va-vite sur la bande originale compressée.

SMOKE COVERS MY EYES: Problème d’accent, mais excellente adaptation. Que de beaux projets d’albums en anglais dans la carrière de Johnny! 9/10

FUMÉE LIVE: Sans doute en partie à cause d’un mixage très approximatif (ce qui se sent fort après un album aussi produit) et de cette mini-trompette au son ridicule, le titre perd énormément de sa force dans cette version pas hantée du tout. Peut-être pas un titre de scène. 6,5/10

JE N’AI PAS VOULU CROIRE: Très mauvaise prise de son, mais belle version, beaucoup plus rock que la version studio (qui s’est fait une très belle place dans mon coeur avec le temps) 8/10

MAL: Version bien rock mais pas super maîtrisée de ce standard 8/10

CACHÉ DERRIÈRE MES POINGS: Le cas de conscience du volume. On nous le présente comme un moment culte et ça devait certainement être quelque chose de fou à voir sur scène. En l’état, sans l’image et avec la mauvaise prise de son je ne trouve honnêtement pas ça renversant. Texte trop premier degré et très long instrumental. Tout seul c’est lassant. 5/10

Au final, pas un grand opus pour moi (bien sûr à l'échelle de Johnny donc ça reste un grand plaisir!). Il y a toujours du bon bien sûr, et même un peu de très bon (qui sauve la cote générale), mais le parti-pris de l’album n’est pas en phase avec la plupart des chansons et les saborde plutôt que de les élever. J’aurais envie de dire que l’essai sera transformé sur «Jeune Homme», mais «Rêve Et Amour» est sorti après, ce qui me laisse fort perplexe! Comment rater ce qu’on vient de réussir? Plus d’inspiration? Ou un disque de chutes?

NOTE GÉNÉRALE 7

Flagrant Délit 9/10
Rock'n'Roll Attitude 8,5
Cadillac 8,5
Lorada 8,5
La Terre Promise 8,5
Insolitudes (sans bonus) 8,5

Gang 8
Les Enfants Du Rock 8
La Peur 8
Ça Ne Change Pas Un Homme 8
Rivière... Ouvre Ton Lit 8
Jeune Homme 8
Solitudes à deux 8
Rock À Memphis 8

Country-Folk-Rock 7,5
Jamais Seul 7,5
En Pièces Détachées 7,5
Le Coeur d'Un Homme 7,5
Entre Violence et Violons/En V.O. 7,5
Hollywood 7,5
Vie 7,5
Johnny 67 7,5

Drôle De Métier 7
Derrière L'Amour 7
La Génération Perdue 7
Les Rocks Les Plus Terribles 7
À La Vie, À La Mort 7
Sang Pour Sang 7
Salut Les Copains 7
Rock’n’Slow 7
Rêve Et Amour 7
Je t’aime, je t’aime, je t’aime 7

Les Bras En Croix 6,5
C'est La Vie 6,5
Ça Ne Finira Jamais 6,5
L’Idole Des Jeunes 6,5
Sings America's Rockin' Hits 6,5
Ma Vérité 6
Quelque Part Un Aigle 6
Ce Que Je Sais 5,5

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Message  pierre77 Jeu 20 Sep 2012 - 0:21

Une fois n'est pas coutume mais ici, un album qui me tient à coeur.

Avant toutes choses Oscar, je te souhaite le meilleur. Un peu de sincérité dans ce monde de brutes ne peut faire de mal.
Avant de me lancer je n'ai fait que survoler très rapidement les deux précédents debrieffings afin d'éviter toute influence dans mes commentaires.
Voici donc mon ressenti.

Un album que je ne découvrais qu'en 1980, bien que possédant alors le 45T "Fumée" que mon père m'offrit en 68 au moment de sa sortie. Pour revenir à l'album lui-même et donc en 1980, inutile de vous dire que je pris une grande claque dans la figure dès les premières mesures non pas pour les paroles dans un 1er temps, mais vraiment pour la musique.
En l'écoutant encore aujourd'hui, je frissone à la "piqure" de ces sons distordus, de ces montées psychédéliques passant du rêve à la folie. Je me retrouve dans certains textes sur un banc de classe, le regard rivé sur la fenêtre à la poursuite de mes rêves de grands espaces. Il y a... comment dire... du Gainsbourg dans ces compositions. Oui, cette idée me plait bien. Le grand Serge aurait-il composé de la sorte si cet album lui avait été confié?

Quant aux textes, ils demeurent torturés à souhait, embrumés, vaporeux et distordus comme une fumée de cigarette. Quel genre de cigarette? Une seule personne pourrait vraiment le dévoiler aujourd'hui, même si nous ne sommes plus nés de la dernière pluie...

Cet album se visite comme une tranche de vie entre un enfant, un adolescent, un jeune homme et enfin un adulte...qui ne font qu'un.
C'est parti!

Entre mes mains: L'album ne pouvait mieux démarrer que par cette chanson. Nous sommes dès le départ abusés par un balbutiement de violons nonchalents. un son étouffé qui monte lentement dévoilant une atmosphère que l'on ressent comme quasi féerique mais qui en fin de compte se révèlera subitement noire et tourmentée au possible. Dans le style torturé on ne pouvait faire mieux. Le ton est donné. 8/10

Cours plus vite Charlie: "L'amour est dans le pré"... Bien ficelé, un petit rock primessautier qui nous laisse un dernier répis avant le grand saut. 7/10

Non ne me dis pas adieu: Un cri du coeur, mais pas grand chose de plus par rapport à d'autres chansons du même style. 6/10

En rêve: Voici une des perles de cet album. Le rêveur du fond de la classe. Tantôt Christophe Colomb sur son grand voilier, tantôt Icare avec ses grandes ailes blanches. Des trompettes saturées à la limite de la fausse note nous entrainant dans un tourbillon de fumées et de brouillards. De la bonne sans doute... Non, de la très bonne finalement! 9/10

Attention: Deux versions couraient à cette époque: "Attention...si tu t'en vas, je ne te rattraperai pas..." et "Attention... c'est interdit, de se pencher par la fenêtre..." Bon dans les deux cas, une chanson banale qui dénote avec le reste de l'album. 6/10

Je pars demain: Une belle mélodie, un fils qui part vivre sa vie. Ce thême me plonge dans la pénible réalité de mes fils qui un jour nous quitteront leur mère et moi. N'ais-je pas moi-même un jour quitté ma mère? Aller pour la gloire un 7/10.

Fumée: Le chef-d'oeuvre de l'album et quelque part peut-être celui de sa carrière. Une musique emplie de volutes gainsbourriennes. Une envolée lyrique de violons qui prennent aux tripes. A écouter les mains... "jointes". 10/10

Je suis l'amour: L'opus le plus pop de l'album; Une guitare omniprésente posée sur l'épaule de Johnny comme un diablotin lui soufflant mille espiègleries. Johnny voleur d'âmes. Tout un programme qu'il reprendra bien plus tard avec "Comme un voleur" telle une suite directe.8/10

J'ai peur je t'aime: Un vrai cri de détresse. On reste dans le tourmenté avec une voix fragilisée par l'émotion. Quand un homme dit je t'aime, il dit sa peur même si au fond celà ne change rien. Faibles hommes que nous sommes. 8/10

Sans une larme: Bin oui! Le dire ne change rien. Mais cette chanson demeure une belle chanson d'amour même dans le chagrin. 6/10

Dans ma vie: Une petite balade sans plus. On tourne un peu en rond après des émotions si fortes dans les chansons précédentes. 5/10

Quand on sifflait: Ou je pige plus rien, ou je suis fatigué mais bon fatigué depuis 1968?... Je vois pas le pourquoi de cette chanson. Du remplissage. 4/10

Moyenne de l'album: 7/10.

Pardonnez-moi mais il est un peu tard. Je vous donnerai la suite de mes impressions sur le reste une autre fois. Merci pour votre indulgence sur cet essai. Ce n'est pas un exercice très simple et je pense sincèrement que d'autres le font mieux que moi.

Bonne nuit à toutes et tous Sleep Sleep Sleep

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Message  oscar2 Jeu 20 Sep 2012 - 8:23

Un nouvel éclairage , un autre ressenti, un nouveau débriefeur, ce n'est que du bonheur

je suis impatient de lire la suite.
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Message  Jango Jeu 20 Sep 2012 - 12:42

Plus on est de fous plus c'est bien Smile
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Message  oscar2 Jeu 20 Sep 2012 - 17:18

...et moins il y a de riz bounce bounce
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Message  Invité Jeu 20 Sep 2012 - 21:01

Merci pour vos debrieffs! c est sympa à lire !
ceci dit, je vous trouve bien genereux avec cet album ! Very Happy

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Message  Jango Jeu 20 Sep 2012 - 22:41

Moi qui craignais d'avoir été trop dur! Comme quoi les goûts et les couleurs au sein même de l'oeuvre hallydéenne! Mais ça fait plaisir d'échanger et d'être lu Smile
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Message  pierre77 Ven 21 Sep 2012 - 20:36

Aller une petite dernière pour terminer en beauté.
Voilà bien une serie bonus qui n'a vraiment qu'une valeur documentaire. Il faut savoir que ça existe, voilà. Non pas qu'il ne soit pas interressant d'entendre Johnny chanter en Italien, mais bon dans l'ensemble Johnny en étranger, ça casse pas trois pattes à un canard. A part peut-être dans "Rough town", mais là c'est une autre histoire...qui approche d'ailleurs!


Ragazzo : Les paroles de la version française me hantent trop pour me laisser aller à une version autre que l'originale. 4/10

Queste mie manie: Il fallait bien sans doute tenter de promouvoir un peu à l'étranger. J'ai un souci de synchro dans cette adaptation entre le rythme des paroles et celui de la musique. 4/10

Hawai: Au début je pensais entendre une adaptation d'une chanson d'Elvis (lol). Bon je me tape "quand on sifflait". Je n'ai pas aimé l'original, je ne vais pas tomber à la renverse pour cette version. 3/10

Smoke cover my eyes: Je découvre en lisant Oscar que cette chanson faisait partie d'un projet d'adaptation en Anglais de "Rivière..." Quel dommage, quel gâchis de ne pas être allé jusqu'au bout. Bel équilibre cependant entre le chant et la mélodie. 6/10

Fumée :Comment peut-on obtenir des enregistrements de concerts antérieurs à ce PDS aussi clairs et magnifiques et sortir un son aussi pourri dans celui-ci? 5/10

Mal : Dans la salle ça devait être du délir. Johnny me fait penser à Roger Daltrey des "Who" dans cette version destroy. Peut-être la seule chanson de l'album qui puisse se sublimer sans l'appui de l'image. 7/10

Je n'ai pas voulu croire: Belle version, mais l'omniprésence de l'espèce de trompette de fond gâche un peu mon plaisir. 7/10

Caché derrière mes poings: Impossible d'écouter sereinement. On se croirait en pleine période "West side Story" quand les Sharks affrontent les Jerks. Un grand document mais pour fans avertis uniquement. 7/10


Total: 5.37

Je ne sais pas dans le cas présent jusqu'à quel point un jugement purement musicale peut se construire sans la hantise de l'image. Ce palais des sports demeure avec le PDS 71 une exception et une des plus grosses énigmes des shows Hallyday. Les images que nous en possédons sont une véritable frustration de notre soif d'en savoir plus, d'en vivre plus...On fait avec.

Voivi ma contribution à cette magnifique idée de "debriefs". Je suis tout de même heureux car je pensais sincèrement ne pas aller jusqu'au bout. J'ai pris un véritable plaisir à le faire et ne demande qu'à recommencer. Je ne dis pas qu'il en sera systématiquement ainsi, mais je m'y emploierai selon les albums qui me tiennent le plus à coeur. J'ai déjà laissé filer assez d'occasions sur les précédents opus pour ne pas m'accrocher aux prochains qui pointent leur nez. Il y en a d'ailleurs pas mal qui me titillent dans ce qui se prépare.

Des pages se tournent, des chapitres se terminent. Tant de chapitres restent à écrire et tant de nouvelles pages restent à tourner entre nous.
Bien à vous tous.
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Message  Jango Ven 21 Sep 2012 - 20:56

Merci Pierre pour cette excellente participation. Je ne suis pas seul à trouver le son médiocre sur ces extraits live!
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Message  oscar2 Sam 22 Sep 2012 - 11:32

En ce qui concerne ce live 69 je sais qu'il y a eu beaucoup de difficulté pour les prises de son a cause des 3 scene entierement recouverte d'aluminium, ce qui provoquait des larsens et des parasitages à tout va , c'est une explication pour le son mais ça n'explique pas pourquoi un titre comme MAL qui durait pas loin de 10 min en soi réduit a - de 3 min, c'est pareil sur beaucoups d'autres titres recoupés , le summum étant JE SUIS NE DANS LE RUE qui se termine en fondu a +/- 5:30 alors que déjà sur la VHS on avait droit a la version intégrale qui incluait des vieux rock dans une sorte de transe infernale et qui dépasse les 13 min.

PS: Pierre il n'est jamais trop tard pour bien faire , rien ne t'empeche d'aller repecher çi et là l'un ou l'autre débrief pour nous en livrer ta vision , ce fut un plaisir de te lire.
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Message  Yuna Sam 22 Sep 2012 - 11:57

A mon tour je vais être très généreuse avec cet album. La collection a été l'occasion de me faire découvrir nombre de chef d'oeuvre que je ne connaissais pas. Après on se demande comment on pouvait être fan de Johnny sans connaître ces morceaux de bravoure ! Very Happy Avec Johnny 67, Jeune homme et Rêve et amour, on se retrouve bien dans une petite trilogie mythique de Johnny.
Lorsque que j'ai acheté le CD j'ai eu beaucoup de mal à me séparer de 4 5 chansons en particulier que j'écoutait en boucle. Il m'a fallu longtemps pour que je me penche sur l'ensemble de l'album et enfin découvrir les autres petites pépites qui s'y cachent.
Avec Johnny 67, Jeune homme et Rêve et amour, on se retrouve bien dans une petite trilogie mythique de Johnny courte au niveau de la durée mais bien grande pour ce qu'elle représente dans sa carrière.
A noter de très belles photo dans le livret, autant pour l'album que pour la tournée de 68.

Entre mes mains : Ah le fameux Entre mes mains. Tout a été dit sur ce chef d'oeuvre, un texte inchantable à pars pour Johnny. Cependant j'avoue que je me lasse un peu de cette version studio qui avec le temps devient un peu "ampoulé" ... Je me suis tourné depuis sur le live de 93 Very Happy

Cours plus vite Charlie : C'est la p'tite pause après l'intro d'Entre mes mains pour passer au reste de l'album. Un morceaux bien sympathique (qui explosera vraiment sur scène) mais qui là est un peu rentré dans l'album on ne sait comment.

Non ne me dis pas adieu : Oui oui un premier couplet très dur à passer, mais alors le refrain c'est l'explosion intersidéral ! J'adore ces envolées vocales de Johnny entouré des violons pour crier son désespoir d'être quitté. Les couplets suivants ne sont que des prétexte pour reprendre son souffle et reprendre de plus belle. quand j'écoute ce titre je ne peux qu'imaginer aujourd'hui Johnny sur scène entouré d'un orchestre philharmonique et tout le bazard qui va avec, les projecteurs, les lumières, la fumée ... Le dernier refrain revêt un ultime adieu avec la présence des violons de plus belles. Et su'est qu'on dit alors ? On dit merci à Eric Charden qui décidemment avec bien caché son jeu.

En rêve : Voilà l'exemple de la petite pépite que j'ai pris le temps d'écouter que bien après avoir acheter l'album. Peut être pas ce que contrairement aux autres qui envoie le paté directos sans discuter, celle ce doit prendre le temps de s'écouter. Toujours les violons à fond devant et un Johnny qu'on sent vraiment à fond dans la chanson.

Attention : Ça se chante gaiement, c'est sympathique, mais bon ... Pas plus ...

Je pars demain : Idem, mais bien appréciable pour la voix et l'interprétation de Johnny.

Fumée : Alors là il faut faire arrêter la Terre de tourner, arrêter tout ce qu'on fait et écouter ... Si on devait résumer l'album à une chanson, ce serai celle là. Les voilons, toujours ces voilons, cette cassure du refrain, il y a tout ici, le texte, la musique, la voix, l'interprétation, le mystère du texte, le désespoir ... Comme dit précédemment injustement oublié ... La chanson fait visiblement référence à la drogue, j'ai écouté et ré écouter dans tous les sens. En tirant les cheveux au texte, on voit les références, mais mon coeur naïf de jeune fille fait que moi je n'y vois qu'une chanson d'amour désespérée ! Very Happy

Je suis l'amour : Bien sympathique mais bon ... Je crois que cette pauvre chanson souffre vraiment de sa place dans l'album. Entre deux miracles que voulez-vous faire ?

J'ai peur, je t'aime : J'ai entendu cette chanson la première fois dans le documentaire qu'avait fait De Caunes qui était passé sur France 3. Je m'en rappelle très bien car elle m'avait tout de suite envoûtée. Johnny est crédité à la composition pour celle ci, et tout de suite le texte devient très personnel, une femme qui veut partir, un fils qu'il ne voit pas grandir, cette chanson ne peut être qu'un amas d'émotion sans précédent avec une interprétation à foutre la chair de poule ... C'est dit doucement mais ça donne l'impression d'être crier à plein poumons au monde entier ... Seul Johnny peut faire ça. Un vrai morceaux de bravoure, ma préférée de l'album et peut être de Johnny.

Sans une larme : Ah tiens j'avais pas fait gaffe, je vois que c'est Jean Jacques Debout qui a fait le texte. C'est vrai que c'est bien son style. Toujours l'amour désespéré que Johnny chante si bien ... Et toujours les violons, et ces magnifiques refrains ... Rien à dire de plus.

Dans ma vie : Bon bon bon ... J'ai vraiment du mal avec celle là, surtout avec ce qui a précédé.

Quand on sifflait : J'ai jamais rien compris au texte, mais j'ai pas trop cherché non plus. Allez au suivant.

Ragazzio/Queste mie manie/Hawaï : Je peux pas dire mieux que Pierre. L'accent italien me semble vraiment mauvais ...

Smoke cover my eyes : Grosse grosse découverte pour moi, de même que le projet de faire cet album en anglais. L'accent anglais me semble pas trop mauvais (mais vu le mien, tout accent anglais ma parait très bon), et le texte anglais assez littéraire est simple à comprendre. C'est pas mal du tout.

Fumée live : La version live parait moins habitée que la version studio, la faute aux violons absents ?

Mal live : J'aime bien ce petit morceau Very Happy qui sur scène devant être un sacré moment pour le public.

Je n'ai pas voulu croire live : J'adore la version studio, et là c'est une très belle version live, peut être plus envoûtée que la version studio. Enfin moi qui connait le PDS 69 qu'avec ces extraits j'ai un peu de mal à me mettre dedans ...

Caché derrière mes poings live : Je ne doute pas de ce que ça devrait être sur scène, mais comme ça en audio ça ne marche pas du tout.

En petite conclusion, cet album est l'un des mes préféré de Johnny, qui grimpe bien dans mon trio de tête.
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Message  Yuna Sam 22 Sep 2012 - 12:14

Ah et j'ai oublié, si je peux me permettre, bienvenue dans le club Pierre ! Wink Wink
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Message  Jango Sam 22 Sep 2012 - 12:35

Merci Yuna! Voilà un album qui déchaîne les passions! Wink
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Message  Invité Sam 22 Sep 2012 - 17:33



1.Entre mes mains: rien à ajouter sur ce qui a ete dit...un titre a l'atmosphere et l'ambiance à la fois envoutante et tragique doublé de la superbe interpretation de Johnny. 8/10
2.Cours plus vite Charlie: un titre classique pour le repertoire de Johnny à l'epoque mais qui sur cet album prend la figure d'ovni ! Un rock impeccable magnifiquement adapté par long chris 8/10
3.Non ne me dit pas adieu : J'ai toujours beaucoup aime les couplets et l'interpretation de Johnny..beaux arrangements 6/10
4.En reve : veritable trip hallucinogene sublimé par Johnny et les arrangements 7/10
5.Attention: les cordes sont sympas... mais le morceau est assez plat et tourne en rond.... 4/10
6.Je pars demain : le sujet de la chanson est sympa...chanson sympa..sans plus... 5/10
7.Fumée : le troisieme titre fort de cet album avec là aussi des arrangements qui savent creer une ambiance extra 8/10
8.Je suis l'amour: voici l'exemple meme de chanson d'une fluidité exemplaire, qui une fois ecoutée vous accompagne ensuite inconsciamment toute la journee 7/10
9.J'ai peur je t'aime : magnifique chanson qui cependant reste un peu fade sur sa version studio en comparaison avec les versions lives somptueues qui seront proposéees notamment durant la tournee 70 7/10
10.Sans une larme: là cela commence a se gater serieusement avec ce titre grandiloquent surchargé en tout et qui fait ...flop... 3/10
11.Dans ma vie : idem que le titre precedent....3/10
12. Quand on sifflait : apres une intro prometteuse , la deconfiture... comment peut on chanter des paroles aussi nazes? 3/10

Moyenne : 5.8

Concernant la pochette, les allusions a Sgt Peppers sont evidentes... mais force est de constater que c'est un beau ratage.... 3/10

au final, un album transition dans la carriere de Johnny qui lorgne sur la pop anglaise sans trop en atteindre les sommets sauf a 3 ou 4 exeptions, la faute a des compositions parfois faiblardes.... le meilleur etait à venir !
Je passe sur les chansons "italiennes".... les deux seules qui trouvent grace a mes oreilles sont les deux qui n'ont pas de version francaise: Senza amor et domenica domani

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Message  pierre77 Dim 23 Sep 2012 - 14:17

Yuna a écrit:Ah et j'ai oublié, si je peux me permettre, bienvenue dans le club Pierre ! Wink Wink

Merci Yuna. Wink
Merci Oscar. Effectivement, rien ne m'empêche de revenir sur des opus passés. Je le ferai à l'occasion mais pour l'instant je préfère me concentrer sur l'énormité de ce qui arrive Very Happy Basketball
Un grand salut à Jango et Malpaso. Wink
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Message  Jango Dim 23 Sep 2012 - 14:23

À bientôt pour Hallelluyah alors! Very Happy
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Message  Invité Lun 24 Sep 2012 - 20:46

Merci Pierre! Bonne soiree Wink

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