Un demi-siècle -4 jours...
3 participants
Page 1 sur 1
Un demi-siècle -4 jours...
Dimanche se sera le réel anniversaire des 50 ans de carrières de Johnny.
Parution de son 1er disque : 14 mars 1960.
Mais lui là-bas, nous ici...
Comment faire pour lui manifester toute notre reconnaissance?
Je ne sais pas si c'est réelement un accro du net pour aller voir notre forum
Alors pourquoi ne pas l'inonder de lettres (des vraies en papier avec un joli timbre) pour lui dire merci pour ces cinquante années de bohneur?
Pour l'adresse? Mouais, je pense que si on mets :
Jean-Philippe Smet dit Johnny Hallyday
97133 SAINT BARTHELEMY
ça devrait arriver non?
Parution de son 1er disque : 14 mars 1960.
Mais lui là-bas, nous ici...
Comment faire pour lui manifester toute notre reconnaissance?
Je ne sais pas si c'est réelement un accro du net pour aller voir notre forum
Alors pourquoi ne pas l'inonder de lettres (des vraies en papier avec un joli timbre) pour lui dire merci pour ces cinquante années de bohneur?
Pour l'adresse? Mouais, je pense que si on mets :
Jean-Philippe Smet dit Johnny Hallyday
97133 SAINT BARTHELEMY
ça devrait arriver non?
Mirmillon- Messages : 1805
Date d'inscription : 04/02/2008
Localisation : Planète Terre + 1384
Re: Un demi-siècle -4 jours...
Quelle bonnne idée Mirmillon !!!! Il fallait y penser
Mais ne pourrait-on pas plutôt faire un seul courrier de la part de nous tous . Le forum .
Je ne sais pas, il faudrait plusieurs réactions .
Mais ne pourrait-on pas plutôt faire un seul courrier de la part de nous tous . Le forum .
Je ne sais pas, il faudrait plusieurs réactions .
nanou31- Messages : 87
Date d'inscription : 19/11/2009
Age : 42
Re: Un demi-siècle -4 jours...
http://www.tdg.ch/loisirs/disques/johnny-50-ans-bacs-2010-03-12
Johnny Hallyday est né il y a 50 ans. Il en fait plus, c’est un fait. Sans doute parce que Jean-Philippe Smet, lui, a vu le jour en 1943.
Il lui faudra donc attendre 17 ans pour s’approprier le nom de Lee Halliday (danseur, il fut également traducteur à l’ONU à Genève) et devenir l’idole des jeunes. A une époque où, comme le chanteur le déclare à l’animatrice Denise Glaser, «la jeunesse n’est plus exactement comme avant. Elle est beaucoup plus rêveur (sic).»
C’est donc un Johnny rêveur et fâché avec la grammaire qui, le 14 mars 1960 très exactement, fait son apparition dans les bacs des disquaires avec T’aimer follement. C’est plutôt côté orthographe que ça cloche chez Vogue, son éditeur, puisque Halliday a perdu son i au profit d’un y. Le nom ainsi libellé sera définitivement adopté par l’artiste.
Le premier pressage comprend deux titres, le second s’intitulant Laisse les filles. Un autre 45 tours SP sort le même jour avec deux autres titres: J’étais fou et Oh! Oh! Baby. Les quatre chansons seront rassemblées sur un EP le 16 mars 1960. Précisons toutefois que certains biographes donnent ce disque comme étant le tout premier de Johnny.
De Brassens au rock
Mais d’où vient-il, Johnny? De la Clinique Marie-Louise, à Paris, où il a vu le jour un 15 juin. Dès l’âge de 9 ans, il lui arrive de se retrouver sur scène, aux côtés de sa cousine Desta et de Lee Halliday. Il chante alors La ballade de David Crockett ou du Brassens. En 1954, il est crédité d’une petite apparition dans Les diaboliques, le film de Clouzot.
A la fin des années 1959, Johnny fréquente le Golf-Drouot, célèbre salle parisienne où la jeunesse se retrouve, et participe à sa première émission de radio, Paris-Cocktail. C’est à cette occasion qu’il est remarqué par Jacques Wolfsohn, directeur artistique chez Vogue, qui lui fait enregistrer son premier disque.
Sur la pochette, le chanteur brandit une guitare. Selon qu’il s’agit du SP ou du EP, il se tient debout ou à genoux. T’aimer follement est une reprise du Makin’ Love de Floyd Robinson. Soyons honnêtes: la musique compte bien plus que les paroles, plutôt gnangnan. Celles de Laisse les filles – à ne pas confondre avec Laisse tomber les filles, écrite par Gainsbourg en 1964 – ne valent guère mieux.
Si la carrière de Johnny Hallyday est lancée, c’est la sortie de Souvenirs, souvenirs, en juin de la même année, qui va faire de lui une immense vedette. Un demi-siècle et 43 albums plus tard, le petit protégé de Line Renaud – elle fut sa marraine artistique – a vendu plus de 100 millions de disques dans le monde francophone (60 millions rien qu’en France, soit l’équivalent d’un disque par habitant).
Quant à son tout premier microsillon, on le trouve aujourd’hui sur eBay entre 50 et 150 euros (selon le pressage).
En 1960, c’est la dolce vita…
A Genève, en ce mois de mars 1960, ce n’est pas Johnny Hallyday qui tient le haut de l’affiche. C’est la femme. Les citoyens du canton viennent en effet d’approuver l’introduction du suffrage féminin.
Alors que la ville du bout du lac s’apprête à sortir du Moyen Age, le CERN inaugure son premier accélérateur de particules. Y aurait-il un lien de cause à effet? Toujours en Suisse, Henri Guisan casse sa pipe à 85 ans tandis que Le Nouvelliste Valaisan absorbe Le Rhône (c’est un journal!)
Nos amis Français, eux, font la bombe. Ou, plus exactement, ils font péter leur première bombe atomique en plein cœur du Sahara algérien. «Hourra pour la France!» s’exclame de Gaulle tandis que l’autochtone se réjouit de voir enfin des nuages. Avec un certain à-propos, Marguerite Duras publie dans la foulée Hiroshima mon amour.
Le 7 mars, lancement de l’hebdomadaire Télé 7 jours, qui ne fait pas encore sa couverture avec Johnny. Autre lancement, au mois de mai, celui du France, gros navire qui réconciliera Michel Sardou avec la CGT quelques années plus tard. Le 9 juillet, c’est les vacances, mais ça va désormais coûter plus cher: un décret autorise en effet les péages sur les autoroutes françaises.
Même en se roulant dans la poussière, Johnny fait bien pâle figure face à Elvis qui, le 1er août, est désigné «ennemi public numéro 1» par un journal est-allemand. Eddie Cochran n’en pense rien, il s’est tué le 17 avril. Bono voit le jour en mai, quelques mois avant Hugh Grant. Quant à l’Eglise, elle condamne en toute logique La Dolce Vita de Fellini. Le réalisateur italien s’en moque: son film vient de décrocher la Palme d’or à Cannes.
Johnny Hallyday est né il y a 50 ans. Il en fait plus, c’est un fait. Sans doute parce que Jean-Philippe Smet, lui, a vu le jour en 1943.
Il lui faudra donc attendre 17 ans pour s’approprier le nom de Lee Halliday (danseur, il fut également traducteur à l’ONU à Genève) et devenir l’idole des jeunes. A une époque où, comme le chanteur le déclare à l’animatrice Denise Glaser, «la jeunesse n’est plus exactement comme avant. Elle est beaucoup plus rêveur (sic).»
C’est donc un Johnny rêveur et fâché avec la grammaire qui, le 14 mars 1960 très exactement, fait son apparition dans les bacs des disquaires avec T’aimer follement. C’est plutôt côté orthographe que ça cloche chez Vogue, son éditeur, puisque Halliday a perdu son i au profit d’un y. Le nom ainsi libellé sera définitivement adopté par l’artiste.
Le premier pressage comprend deux titres, le second s’intitulant Laisse les filles. Un autre 45 tours SP sort le même jour avec deux autres titres: J’étais fou et Oh! Oh! Baby. Les quatre chansons seront rassemblées sur un EP le 16 mars 1960. Précisons toutefois que certains biographes donnent ce disque comme étant le tout premier de Johnny.
De Brassens au rock
Mais d’où vient-il, Johnny? De la Clinique Marie-Louise, à Paris, où il a vu le jour un 15 juin. Dès l’âge de 9 ans, il lui arrive de se retrouver sur scène, aux côtés de sa cousine Desta et de Lee Halliday. Il chante alors La ballade de David Crockett ou du Brassens. En 1954, il est crédité d’une petite apparition dans Les diaboliques, le film de Clouzot.
A la fin des années 1959, Johnny fréquente le Golf-Drouot, célèbre salle parisienne où la jeunesse se retrouve, et participe à sa première émission de radio, Paris-Cocktail. C’est à cette occasion qu’il est remarqué par Jacques Wolfsohn, directeur artistique chez Vogue, qui lui fait enregistrer son premier disque.
Sur la pochette, le chanteur brandit une guitare. Selon qu’il s’agit du SP ou du EP, il se tient debout ou à genoux. T’aimer follement est une reprise du Makin’ Love de Floyd Robinson. Soyons honnêtes: la musique compte bien plus que les paroles, plutôt gnangnan. Celles de Laisse les filles – à ne pas confondre avec Laisse tomber les filles, écrite par Gainsbourg en 1964 – ne valent guère mieux.
Si la carrière de Johnny Hallyday est lancée, c’est la sortie de Souvenirs, souvenirs, en juin de la même année, qui va faire de lui une immense vedette. Un demi-siècle et 43 albums plus tard, le petit protégé de Line Renaud – elle fut sa marraine artistique – a vendu plus de 100 millions de disques dans le monde francophone (60 millions rien qu’en France, soit l’équivalent d’un disque par habitant).
Quant à son tout premier microsillon, on le trouve aujourd’hui sur eBay entre 50 et 150 euros (selon le pressage).
En 1960, c’est la dolce vita…
A Genève, en ce mois de mars 1960, ce n’est pas Johnny Hallyday qui tient le haut de l’affiche. C’est la femme. Les citoyens du canton viennent en effet d’approuver l’introduction du suffrage féminin.
Alors que la ville du bout du lac s’apprête à sortir du Moyen Age, le CERN inaugure son premier accélérateur de particules. Y aurait-il un lien de cause à effet? Toujours en Suisse, Henri Guisan casse sa pipe à 85 ans tandis que Le Nouvelliste Valaisan absorbe Le Rhône (c’est un journal!)
Nos amis Français, eux, font la bombe. Ou, plus exactement, ils font péter leur première bombe atomique en plein cœur du Sahara algérien. «Hourra pour la France!» s’exclame de Gaulle tandis que l’autochtone se réjouit de voir enfin des nuages. Avec un certain à-propos, Marguerite Duras publie dans la foulée Hiroshima mon amour.
Le 7 mars, lancement de l’hebdomadaire Télé 7 jours, qui ne fait pas encore sa couverture avec Johnny. Autre lancement, au mois de mai, celui du France, gros navire qui réconciliera Michel Sardou avec la CGT quelques années plus tard. Le 9 juillet, c’est les vacances, mais ça va désormais coûter plus cher: un décret autorise en effet les péages sur les autoroutes françaises.
Même en se roulant dans la poussière, Johnny fait bien pâle figure face à Elvis qui, le 1er août, est désigné «ennemi public numéro 1» par un journal est-allemand. Eddie Cochran n’en pense rien, il s’est tué le 17 avril. Bono voit le jour en mai, quelques mois avant Hugh Grant. Quant à l’Eglise, elle condamne en toute logique La Dolce Vita de Fellini. Le réalisateur italien s’en moque: son film vient de décrocher la Palme d’or à Cannes.
Yuna- Messages : 6406
Date d'inscription : 09/02/2008
Age : 34
Localisation : Savoie
Re: Un demi-siècle -4 jours...
Ça y est, le demi siècle a sonné!!!
50 ans que tu es aimé follement Johnny, alors :
Joyeux anniversaire et bonne continuation à ton exceptionnelle carrière
50 ans que tu es aimé follement Johnny, alors :
Joyeux anniversaire et bonne continuation à ton exceptionnelle carrière
Mirmillon- Messages : 1805
Date d'inscription : 04/02/2008
Localisation : Planète Terre + 1384
50 ans
Salut à Tous
Aujourd'hui 50 ans de carrière, inutile de dire qu'il n'y en a pas eu des tonnes à pouvoir le fêter et qu'il n'y en aura plus beaucoup non plus...
Merci Johnny d'avoir consacré ta vie à la Musique pour notre plus grand plaisir.
Des esprits chagrin diront que depuis x temps ce n'est plus la même chose, que certains titres sont faciles....
Tant pis retenons ce parcours exceptionnel de quelqu'un qui est rentré dans l'histoire alors qu'on lui prédisait une carrière de 3 ou 4 mois...
Ca veut simplement dire que Exister c'est Insister
Merci Johnny pour tous ces instants que tu nous a donné.
Puisse tu aujourd'hui, penser un peu à toi, prendre le temps de vivre, de profiter, c'est pour nous du Bonus.
Merci Mr Johnny Hallyday
Jipé
Aujourd'hui 50 ans de carrière, inutile de dire qu'il n'y en a pas eu des tonnes à pouvoir le fêter et qu'il n'y en aura plus beaucoup non plus...
Merci Johnny d'avoir consacré ta vie à la Musique pour notre plus grand plaisir.
Des esprits chagrin diront que depuis x temps ce n'est plus la même chose, que certains titres sont faciles....
Tant pis retenons ce parcours exceptionnel de quelqu'un qui est rentré dans l'histoire alors qu'on lui prédisait une carrière de 3 ou 4 mois...
Ca veut simplement dire que Exister c'est Insister
Merci Johnny pour tous ces instants que tu nous a donné.
Puisse tu aujourd'hui, penser un peu à toi, prendre le temps de vivre, de profiter, c'est pour nous du Bonus.
Merci Mr Johnny Hallyday
Jipé
Invité- Invité
Sujets similaires
» 3 pages et demi dans Le Figaro Magazine
» Les talents du siecle Vol 4
» cela aurait été le concert du siecle
» Perle de la semaine: "Un Enfant Du Siècle" (2018)
» Complement des compil LP:Michel Sardou-Les talents du siecle
» Les talents du siecle Vol 4
» cela aurait été le concert du siecle
» Perle de la semaine: "Un Enfant Du Siècle" (2018)
» Complement des compil LP:Michel Sardou-Les talents du siecle
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|