Disco ???

Dans l'émission de ce soir petit extrait de Johnny, je ne m'attendais pas a le voir dans " génération disco " voici ce qu'ils ont dit :
- " le couple mythique Johnny-Sylvie ont aussi succomber a la mode du disco " aprè ca ils nous montre un extrait de Sylvie et après : " voici une version disco de noir c'est noir dont nous n'avons pas de vidéos " petit diapo avec des photos de 67 et des 70s avec la chanson " noir c'est noir " de 1982

Je ne savais pas que cette version était une version " disco " ou que ce soit fait exprè a cause de la mode du moment, aprè tout l'idole n'aurait pas chanté " j'ai une indigestion de disco !! " ???

Les versions 82 de Noir c est noir, que je t aime, gabrielle sont à mon avis à oublier...quel ratage et quel sacrilege de la part de Billon pour avoir "massacré" de la sorte les premeieres versions superbes de Johnny qui ne demandaient rien à personne...

Moi, rien que le titre de l'émission me fait gerber mais les goûts et les couleurs....
Bon dimanche.

Didier Travolta dans le film

moi je n'apprécie pas trop le disco , de toute façon je ne l'ai pas connu n'ayant que 16 ans...
Mais je me demandais juste si la version de " noir c'est noir " de 1982 a été créer dans le but de suivre la mode disco, car hier en entendant cela j'ai été un peu étonné... car je ne pensais pas que l'idole aurait fait un titre disco

pierre77 a écrit:Didier Travolta dans le film

Mince alors, ils ont osé ... et qui joue le rôle d'Amanda Lear

Quelqu'un a vu DISCO ici ?
Un commentaire à apporter ?

Moi je suis aller voire le film Disco avec franck Dubosc qui est un bon film à voire mais il faut aimer le Disco.

Les critiques de ce film sont exelente et je trouve que ce film est vraiment bien fait une copine qui est venue le voire avec moi la trouver super elle aussi car elle ma demande de retourner le voire une 2 ème fois je vais voire car le 16.04.2008 sort le film Shine À Light un film sur les Riolling Stones que je veux vraiment aller voire.

Je pense que l'enregistrement des versions 82 est une erreur: mais je ne suis pas persuadé qu'il s'agisse de "disco": je crois plutôt que notre Johnny s'est laissé entraîner dans un plan de m... orchestré par son copain Billon qui doit avoir deux anus à la place des oreilles. Dans certaines revues on écrit (et c'est plus correct) des versions "dispensables" mais ce terme (musicalement correct) n'a aucun sens.. Ces morceaux sont aussi inutiles (me semble-t-il) que ceux du mini 33 tours "EN V.O.".
des erreurs...

Voici la critique de Carlos Gomez du Journal Du Dimanche de la semaine dernière.
On peut difficilement être plus méchant.
La critique de Canal Plus ( extérieur jour est aussi très mauvaise).
http://www.lejdd.fr/cmc/culture/200814/disco-du-laid-du-beauf-dubosc_106735.html


Disco: Du laid, du beauf, Dubosc
Par Carlos GOMEZ
Le Journal du Dimanche Après le succès populaire de Camping et ses 4,4 millions de spectateurs, le duo Fabien Oteniente-Franck Dubosc revient pour une session Disco pas franchement ragoûtante. Un film qui tente en vain de s'inscrire dans la lignée de Podium ou the Full Monty mais qui ne parvient pas à sortir de la beauferie absolue. Un navet vulgaire, une comédie consternante...

Avec Disco, Fabien Oteniente marche dans les pas de Max Pécas... (DR)
Sur le même sujet

• 
  Ça sort aussi mercredi
  

Tout le monde il est beauf, tout le monde il est grossier. C'est curieux comme le petit monde idéal de Fabien Onteniente pullule de gens moches. Non, franchement, c'est vrai: avait-on déjà vu telle accumulation de laideur au centimètre carré sur un écran de ciné? Si. Dans les films de Max Pecas dans les années 1970-1980. Pecas fut le roi du nanar et l'auteur de "daubes" certifiées, comme le mythique Marche pas sur mes lacets ou la série des Branchés à Saint-Tropez. On le croyait sans descendance, mais on vient de lui découvrir un héritier.

Onteniente est le chantre d'un cinéma "populaire", ce qui n'a rien de grossier. De manière assez régulière, le réalisateur d'A la vitesse d'un cheval au galop (1992, son premier film) a prouvé avoir le sens de ce qui fait rire (voir le succès de Jet Set), même si c'était sans trop s'embarrasser de la forme (3 Zéros). Dans le cas de Disco, il y a un facteur aggravant à cet inoffensif laisser-aller. Onteniente a écrit et tourné Disco avec la confiance du type qui a eu la chance de signer un carton juste avant: Camping, vu par 4,4 millions de spectateurs, chiffre remarquable (son record), qui n'encourage pas à l'exigence artistique quand arrive le moment de se remettre à écrire.

Un crétin, inculte en cinéma

Comme dans Camping, le personnage de Dubosc est un prolo qui assume sa ringardise avec un manque d'autocensure qui confine au dérangement mental. Camping faisait déjà de l'observation de gens ordinaires un spectacle plus ou moins fin (plutôt moins d'ailleurs), mais en partant de choses vécues par Dubosc (fils de campeurs et fier de l'être) durant son enfance. Le problème est que toutes les situations imaginées dans Disco sont, elles, artificielles et sonnent bidon. L'acteur-amuseur s'y donne avec tant d'autosatisfaction dans le registre de dragueur imbécile heureux qu'elles provoquent en prime plus de gêne que de rires.

Disco est un film escroc et paresseux, qui fait penser à nombre d'anciens succès certifiés. Il y a ceux que le réalisateur cite ouvertement (La Fièvre du samedi soir) et ceux qu'il pille sans manière: Franck Dubosc, en avatar de Travolta, est un ersatz de star à l'image de Benoît Poelvoorde dans Podium. Comme le héros de The Full Monty (de Peter Cattaneo), celui de Disco est chômeur, embarqué dans un concours de la dernière chance, afin de sauvegarder l'affection de son fils. Le plus embarrassant est d'entendre aujourd'hui Dubosc (coscénariste) dire que Disco est "une comédie sociale". Deux cas de figures: ou Dubosc est définitivement un crétin, inculte en cinéma, ou il est d'une malhonnêteté intellectuelle consommée qui éclaire le bonhomme sous un jour nouveau. Choisissez. Troisième option, nous n'avons rien compris et Fabien Onteniente est devenu le Ken Loach français. On se gondole, non?

P.S. La performance ultime de ce film est de rendre ringarde une musique qui avait cessé de l'être: le disco. Un genre musical toujours vivant. Ecoutez le groupe Hercules & Love Affair pour vous en convaincre. La chanson s'appelle Blind et pourrait être un des tubes de l'été.

Disco -
De Fabien Onteniente, avec Franck Dubosc, Emmanuelle Béart, Gérard Depardieu, Samuel Le Bihan, Abbes Zahmani, Isabelle Nanty, Annie Cordy. 1h43. Sortie mercredi

moi je pense que juste noir c'est noir a été bien réussi pour les versions de 1982
un son moderne pour les boites de nuits .

JPM a écrit:Voici la critique de Carlos Gomez du Journal Du Dimanche de la semaine dernière.
On peut difficilement être plus méchant.
La critique de Canal Plus ( extérieur jour est aussi très mauvaise).
http://www.lejdd.fr/cmc/culture/200814/disco-du-laid-du-beauf-dubosc_106735.html


Disco: Du laid, du beauf, Dubosc
Par Carlos GOMEZ
Le Journal du Dimanche Après le succès populaire de Camping et ses 4,4 millions de spectateurs, le duo Fabien Oteniente-Franck Dubosc revient pour une session Disco pas franchement ragoûtante. Un film qui tente en vain de s'inscrire dans la lignée de Podium ou the Full Monty mais qui ne parvient pas à sortir de la beauferie absolue. Un navet vulgaire, une comédie consternante...

Avec Disco, Fabien Oteniente marche dans les pas de Max Pécas... (DR)
Sur le même sujet

• 
  Ça sort aussi mercredi
  

Tout le monde il est beauf, tout le monde il est grossier. C'est curieux comme le petit monde idéal de Fabien Onteniente pullule de gens moches. Non, franchement, c'est vrai: avait-on déjà vu telle accumulation de laideur au centimètre carré sur un écran de ciné? Si. Dans les films de Max Pecas dans les années 1970-1980. Pecas fut le roi du nanar et l'auteur de "daubes" certifiées, comme le mythique Marche pas sur mes lacets ou la série des Branchés à Saint-Tropez. On le croyait sans descendance, mais on vient de lui découvrir un héritier.

Onteniente est le chantre d'un cinéma "populaire", ce qui n'a rien de grossier. De manière assez régulière, le réalisateur d'A la vitesse d'un cheval au galop (1992, son premier film) a prouvé avoir le sens de ce qui fait rire (voir le succès de Jet Set), même si c'était sans trop s'embarrasser de la forme (3 Zéros). Dans le cas de Disco, il y a un facteur aggravant à cet inoffensif laisser-aller. Onteniente a écrit et tourné Disco avec la confiance du type qui a eu la chance de signer un carton juste avant: Camping, vu par 4,4 millions de spectateurs, chiffre remarquable (son record), qui n'encourage pas à l'exigence artistique quand arrive le moment de se remettre à écrire.

Un crétin, inculte en cinéma

Comme dans Camping, le personnage de Dubosc est un prolo qui assume sa ringardise avec un manque d'autocensure qui confine au dérangement mental. Camping faisait déjà de l'observation de gens ordinaires un spectacle plus ou moins fin (plutôt moins d'ailleurs), mais en partant de choses vécues par Dubosc (fils de campeurs et fier de l'être) durant son enfance. Le problème est que toutes les situations imaginées dans Disco sont, elles, artificielles et sonnent bidon. L'acteur-amuseur s'y donne avec tant d'autosatisfaction dans le registre de dragueur imbécile heureux qu'elles provoquent en prime plus de gêne que de rires.

Disco est un film escroc et paresseux, qui fait penser à nombre d'anciens succès certifiés. Il y a ceux que le réalisateur cite ouvertement (La Fièvre du samedi soir) et ceux qu'il pille sans manière: Franck Dubosc, en avatar de Travolta, est un ersatz de star à l'image de Benoît Poelvoorde dans Podium. Comme le héros de The Full Monty (de Peter Cattaneo), celui de Disco est chômeur, embarqué dans un concours de la dernière chance, afin de sauvegarder l'affection de son fils. Le plus embarrassant est d'entendre aujourd'hui Dubosc (coscénariste) dire que Disco est "une comédie sociale". Deux cas de figures: ou Dubosc est définitivement un crétin, inculte en cinéma, ou il est d'une malhonnêteté intellectuelle consommée qui éclaire le bonhomme sous un jour nouveau. Choisissez. Troisième option, nous n'avons rien compris et Fabien Onteniente est devenu le Ken Loach français. On se gondole, non?

P.S. La performance ultime de ce film est de rendre ringarde une musique qui avait cessé de l'être: le disco. Un genre musical toujours vivant. Ecoutez le groupe Hercules & Love Affair pour vous en convaincre. La chanson s'appelle Blind et pourrait être un des tubes de l'été.

Disco -
De Fabien Onteniente, avec Franck Dubosc, Emmanuelle Béart, Gérard Depardieu, Samuel Le Bihan, Abbes Zahmani, Isabelle Nanty, Annie Cordy. 1h43. Sortie mercredi

************************************************************

QUEL RAPPORT AVEC JOHNNY ????
soyez cohérents au moins ! pfffff
Isa
**************************************************************
Depuis quelque temps ce forum a complétement dérivé.

On parle de tout sauf de l'artiste pour lequel ce forum a été créé

Johnny Hallyday Le Web est le principal Site consacré à Johnny et son forum doit être à l'image du Site.

Le forum est consacré à Johnny l'artiste dans toutes ses composantes et à sa musique.

Avec 48 ans de carrière et le Tour66 qui arrive il y a largement de quoi parler

Désormais tous les hors sujets seront bannis.

Merci de votre compréhension.

JPM de L'Equipe du Site


JPM
Admin



Messages : 62
Inscrit le : 07 Fév 2008

c'est sur que si on sort la version de noir c'est noir de son contexte de 1982, on peut etre surpris, mais de là à trouver que billon doit avoir 2 anus à la place des oreilles...........

Ouf, le disco repassera difficilement : plantage de l'émission de TF1 samedi soir...


Le champion des imitations "méridionales" (Douste-Blazy, Barthez, Zidane, etc.) Nicolas Canteloup a fait, hier soir en prime time, le bonheur de France 2.
L'émission Canteloup y es-tu ?, qu'il animait au côté de Michel Drucker a battu à plate couture le prime TF1, à savoir le programme Génération disco présenté par Flavie Flament, lequel pouvait compter sur la participation d'un bon nombre de personnalités du monde de la musique.
Cette soirée flashback dédiée au Disco, à l'occasion de la sortie du film de Fabien Onteniente avec Franck Dubosc et Emmanuelle Béart, n'aura donc pas séduit la majorité de ceux qui sont restés devant leur télé hier soir.
5,8 millions de téléspectateurs ont plébiscité le divertissement inédit de Nicolas Canteloup, au cours duquel l'imitateur se retrouvait devant les personnalités qu'il parodie en temps normal (Jean-Pierre Elkabach, François Hollande, Roselyne Bachelot, François Bayrou), soit une part de marché de 27,5 %.
Les téléspectateurs ont, en revanche, boudé le divertissement "réchauffé" proposé par Flavie Flament, puisque TF1 arrive en 2ème position des audiences de la soirée avec seulement 4,4 millions de nostalgiques et une part de marché d'à peine 20 %, bien en-deçà de la barre
des 30% que se fixe la première chaîne.
Cherchez l'erreur...
Purepeople.com